X-MEN L'INTEGRALE
1989 (I)

New York change ! L’enfer prend place ! Madelyne Pryor en est l’une des causes. Elle est devenue la « Reine Démon ». C’est ce que vont découvrir les X-Men, alors qu’ils combattent les Marauders. De plus, une autre surprise les attend : ils vont se retrouver face à Factor X, l’équipe de chasseurs de mutants, qui ne sont autres que les premiers X-Men…

Par berthold, le 22 juillet 2024

Notre avis sur X-MEN L'INTEGRALE – 1989 (I)

Cette nouvelle intégrale X-Men reprend des épisodes de l’année 1989 :

– Uncanny X-Men (1963) 240-245
– X-Factor (1986) 36-39
.

Ce livre propose la saga Inferno, l’une des meilleures histoires des X-Men.

Nous allons y trouver les épisodes X-Men écrits par Chris Claremont et ceux de Factor X écrits par Louise Simonson.

Ainsi, l’enfer se déchaîne à New York. Des boites aux lettres dévorent des gens, des métros deviennent des démons, tout se métamorphose. Les New-yorkais en sont victimes. Qui va pouvoir les sauver ? Les Avengers n’ont pas l’air d’être dispos. Du coup, il ne reste plus que cette équipe que le monde croit morte : les X-Men.

L’action est omniprésente dans cette saga. Claremont parvient à y mettre quelques petits moments d’humour, tandis que chez Louise Simonson, nous sommes plus dans le drame. Nous allons découvrir le secret de Madelyne Pryor et qui est ce Monsieur Sinistre, qui semble fort intéressé par Scott Summers et son bébé, Nathan Christopher Charles Summers.

Nous sommes tenus en haleine jusqu’au bout. Deux épisodes plus légers concluent cette intégrale. Claremont emmène les X-Women faire du shopping et les garçons faire une virée. Forcément, cela va aussi dégénérer. C’est dans un de ces épisodes qu’apparaît pour la première fois Jubilee.

Au dessin, Marc Silvestri fait des étincelles (grâce à Dazzler ?). Son style est vraiment efficace et intéressant à regarder. Il ne laisse pas indifférent. Il y a des scènes qui valent le détour. Quant à Walter Simonson, sur Factor X, c’est un autre genre. Et son style est tout de même entré dans la légende du comics. C’est dynamique et rythmé, son trait reste unique et fort reconnaissable. A propos de style unique et reconnaissable, vous découvrirez un épisode illustré par la « légende » Rob Liefeld. On aime ou l’on n’aime pas, mais cet artiste a vraiment son style à lui. Et là encore, il reste assez classique.

Cette intégrale X-Men concernant 1989 vaut que le lecteur s’y intéresse, juste pour y retrouver cette grande saga que fut Inferno.

Par BERTHOLD, le 22 juillet 2024

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