YAKARI
La Tueuse des Mers
Le premier jour du printemps. Yakari et Petit Tonnerre se sont levés tôt pour profiter de cette belle journee. Le vent semble amener quelque chose avec lui, un drôle d’objet. Le jeune garçon le récupère et le montre au chaman de sa tribu. Ce dernier lui raconte une histoire au sujet de l’Attrape-rêves. Yakari le garde et l’accroche dans son tipi. Cette nuit là, il voit dans son rêve le Claironnant qui lui parle d’une île lointaine avec de grandes demeures toutes en bois devant lesquelles il y a d’impressionnants poteaux magnifiquement sculptés, et là, les chasseurs poursuivent à bord de navires de gigantesques créatures. A son réveil, Yakari court en parler à Arc-en-Ciel et grâce à Nanabozo, le lapin magicien et totem de la jeune fille, ils peuvent se rendre au bout du monde…
Par berthold, le 28 mars 2014
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782803632886
Notre avis sur YAKARI #38 – La Tueuse des Mers
Cette année, Yakari fête ses 40 ans d’existence ! Pour cela, le petit sioux connaitre quelques événements durant l’année 2014. Outre la sortie du 38ème tome de la saga, une exposition nommée "Indiens des Plaines" aura lieu au Musée du Quai Branly du 08 avril au 20 juillet, puis Derib, après avoir été présent au Salon du Livre de Paris, sera au salon BD d’Aubenas du 23 au 25 mai et une exposition scénographiée autour de Yakari sera présentée au BD Boum de Blois.
Et ce nouvel opus des aventures de Yakari ?
Ma foi, ce tome 38 est très bien. Il nous fait toujours passer un très bon moment. Yakari reste une valeur sure pour la jeunesse, mais aussi pour les parents qui peuvent tranquillement et sans honte apprécier les aventures du petit sioux.
Job nous enchante une nouvelle fois en nous entrainant avec cette aventure fantastique vers l’Archipel de la Reine-Charlotte (proche de la côte Pacifique du Canada). Il y a de la poésie et de la magie dans les aventures du jeune enfant qui parle aux animaux. Cette fois-ci, il doit "affronter" un épaulard qui s’attaque aux loutres.
Comme toujours, c’est bien écrit. C’est même intéressant et instructif d’en apprendre sur les us et coutumes des Haïdas, la tribu que rencontre Yakari et ses amis.
Et puis, il y a toujours le dessin de Derib. Un dessin d’une grande finesse, d’une grande efficacité. Un trait qui ne se démode pas et qui nous fait toujours rêver.
Yakari, malgré ses 40 ans, reste une bande dessinée jeunesse qui n’a pas pris une ride et qui se lit toujours avec autant de plaisir de 7 à 77 ans (et plus !).
Par BERTHOLD, le 28 mars 2014
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