ZAP COLLEGE
Régime de champion
Le dumball est un nouveau sport dans lequel Jean-Eudes, Eddy, Hayat, Victor et Ecoline excellent. Bon, il faut dire que peu de gens le pratiquent encore, et que c’est pour cela qu’ils n’ont pas eu trop de difficultés à devenir champions de France… N’empêche que c’est ainsi qu’ils ont gagné leur billet pour les championnats du monde, au Watar ! La pression et l’excitation sont grandes ! Il n’y a qu’Eddy qui semble ne pas vivre les choses aussi pleinement que ses coéquipiers… Il a tout l’air d’être plus intéressé par l’intrigante Graziella, une nouvelle, qui lui a tapé dans l’œil !
Par sylvestre, le 22 mai 2016
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782344012321
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Notre avis sur ZAP COLLEGE #8 – Régime de champion
Le dumball a beau être une discipline sportive inventée pour cet album, l’auteur Tehem a travaillé son sujet et il en a même défini les règles. Celles-ci nous sont expliquées d’entrée, d’ailleurs : on y croirait presque ! Hihihi ! Mais le dumball n’est pas le seul sport à l’honneur, dans cette bande dessinée. La gymnastique y a droit de cité aussi, grâce à Graziella, un nouveau personnage qui aura toute son importance dans le récit. D’une part parce qu’entre elle et Eddy naîtra une idylle. Et d’autre part parce que son rapport au sport (et surtout le rapport de ses parents au sport qu’elle pratique !) sera l’occasion de rappeler quelques évidences relatives à l’esprit de compétition, au surmenage, et aux conséquences néfastes qui peuvent en découler.
Ce huitième opus de la série Zap collège est comme les précédents : très sympa à lire. On n’y trouve pas de temps mort, c’est plein de situations farfelues et drôles, et les héros ados, attachants et pleins de ressources, y ont toujours le dernier mot sans que jamais la morale soit écornée. Zap collège est une série BD toute indiquée pour les ados (mais leurs parents aussi peuvent s’en régaler, hein !) Le partenariat qui, dans ce cadre, lie les éditions Glénat au magazine Okapi est d’ailleurs un gage de qualité qui n’échappera pas à ceux qui ne veulent pas que leurs enfants lisent "n’importe quoi"…
Par Sylvestre, le 22 mai 2016