ZARLA
Rage
La région est la proie d’un groupe de bulls-guerriers féroces et anthropophages. Ils se dirigent vers la cité de Vilstuf.
Pendant ce temps, Zarla qui doit livrer des gâteaux à la ferme de Fuldrig ne se rend pas compte de ce qui se passe autour. Lothfrig a peur pour la jeune fille. Mais vu son courage légendaire, a t’elle vraiment besoin que l’on s’inquiète pour elle ? Surtout qu’elle est accompagnée par son chien Hydromel.
Et pourtant…
Par berthold, le 21 décembre 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782800149714
Notre avis sur ZARLA #4 – Rage
La sortie d’un nouveau tome de la série Zarla est toujours un événement.
Il est vrai que depuis que j’ai lu les premiers tomes, j’attends toujours la nouvelle aventure de Zarla et d’Hydromel.
Avec Rage, le tome 4, je ne suis pas déçu.
Janssens et Guilhem Bec ont réussi le pari de me (vous?) surprendre une nouvelle fois avec cette histoire qui parait dure et grave mais qui est, tout de même, servie par beaucoup d’humour.
Les auteurs vont nous dévoiler quelques secrets concernant les bulls-guerriers, concernant Hydromel et sur leur quête qui consiste à prendre le pouvoir aux hommes. Il est vrai que ce sont les prinicpaux personnages de ce tome ci. Ils vont aussi nous entrainer dans une belle aventure au suspense assez soutenu. Ce qui ravira les amateurs du genre.
Et puis, le lecteur y rit quand même de bon cœur avec les facéties de Zarla et les situations dans lesquelles elle se met. J’aime beaucoup lorsqu’elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe et vit sa vie, malgré le danger.
Le graphisme de Guilhem Bec, accompagné par les belles couleurs de Césano, est toujours aussi réussi et séduisant. Simple, fin, clair et précis, cela fonctionne de bout en bout. il n’y a rien à redire dessus. C’est un travail de professionnel qui ravira les amateurs. Ses personnages savent faire ressortir les émotions.
Rage est un tome agréable, prenant, amusant et divertissant qui entraineront petits et grands vers l’aventure avec un grand A !
A ne pas manquer !
Par BERTHOLD, le 21 décembre 2011