ZOMBIE WALK
L'espoir

Nous retrouvons Mary et Franck qui se sont posés au nord de l’Italie, ils décident de rallier Naples par la route… En parallèle, à Marseille, nous rencontrons Laura et Fabio qui réussissent à embarquer sur l’un des seuls bateaux de croisière pour réfugiés non contaminés. Malgré tout ils vont vite se retrouver confrontés à la loi de la jungle qui règne sur place…

Par fredgri, le 11 juillet 2015

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Notre avis sur ZOMBIE WALK #2 – L’espoir

On le voit bien, progressivement, depuis des mois, les Zombies sont partout, étalés sur les présentoirs de nouveautés BD, des DVD, c’est la tendance et chacun y va de son virus foudroyant qui transforme la population en mort vivant, poussant les rescapés à fuir… Et ce Zombie Walk n’échappe évidemment pas à la règle, accumulant tout les clichés du genre avec enthousiasme, de façon complètement décomplexée !

Malgré tout, même si l’originalité ne semble pas de mise, l’auteur se débrouille assez bien dans ce récit très rythmé qui mise logiquement sur les humains, reléguant les zombies à l’état d’éléments du décor ! Les personnages vivent donc dans un état d’urgence continuelle, les uns tentant simplement de survivre, les autres de fabriquer un antidote le plus rapidement possible !

Il n’est pas forcément nécessaire d’avoir lu le premier volume, car toutes les bases sont répétées encore et encore et que tout est parfaitement abordable dès les premières pages ! Il faut dire que le concept n’est pas particulièrement compliqué à appréhender, de même que les différentes motivations. Manunta a tout de même l’habileté de rendre ses personnages plus complexes qu’il n’y parait, on est dans la même logique d’écriture que celle de Walking Dead, une idée simple qui génère tout un tas de situations !

En attendant, même s’il ne nous est rien proposé de fondamentalement nouveau, cela reste passionnant et surtout captivant. Le dessin est très efficace et bien maitrisé, c’est expressif et très bien caractérisé, c’est amplement suffisant !

J’ai toutefois hâte de lire la suite, ne serait-ce que pour découvrir si le récit saura s’écarter des sentiers mille et une fois balisés auparavant !

Par FredGri, le 11 juillet 2015

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