ZONE ROUGE
Carrera
Laurent Beaumont, un jeune rallyman amateur qui espère bien passer professionnel. Il est beau et se sert de cet "avantage" pour financer les frais qu’occasionne sa voiture, quitte à en perdre son travail de vendeur. Il trouve rapidement un nouveau boulot chez Porsche, ce qui va lui ouvrir quelques nouvelles opportunités… C’est le début de l’ascension…
Car, avant de disputer des courses aussi prestigieuses que le rallye de Monte-Carlo, la coupe des Alpes ou le marathon Liège Rome-Liège, il va devoir se faire remarquer par les décideurs. Usant de son charme il va d’abord tenter de se gagner les faveurs de la fille du patron…
Par fredgri, le 25 novembre 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782888904250
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Notre avis sur ZONE ROUGE #1 – Carrera
La zone rouge c’est le régime à partir duquel les tours que le moteur prend deviennent dangeureux pour lui. cette zone est là pour prévenir que le chauffeur ne peut pas pousser son moteur au-delà d’un certain régime.
Laurent Beaumont, le héros de cette histoire, est donc un jeune coureur automobile au sang chaud qui rêve de grand circuits, de gloire et de belles voitures.
On est à la fin des 50’s, Porsche lance sa 356 1500 GS Carrera et déjà Laurent est séduit. Le scénario mélange habilement, donc, l’histoire de cet homme et la découverte de ce modèle, tout en amenant des éléments plus techniques. J’avoue avoir été moins captivé par ce dernier aspect tant l’intrigue tourne vite autour de ces petites références à base de cylindrés, de moteurs etc.
N’y connaissant rien, pour ma part, aux voitures, je me suis vite rendu compte qu’il s’agissait là davantage d’un scénario prétexte. Malgré tout, ne vous y trompez pas l’ensemble est néanmoins assez accrocheur, suffisamment pour aller jusqu’au bout de l’album, pour peu qu’on aille un peu au delà de l’intrigue très très linéaire.
Graphiquement, on est dans le ton de l’époque. une belle ligne claire réaliste très élégante, un peu figée dans les angles mais franchement ça fonctionne vraiment très bien.
A la finale on a un album très sympathique, bien dans la logique technique de cette collection qui continue de ne pas s’adresser uniquement aux amateurs du genre, ce qui est, à mes yeux, un plus !
Par FredGri, le 25 novembre 2011