1 septembre 2014

« SIN CITY J’ai tué pour elle », le 17 septembre au cinéma…

Plus connu pour ses comics et des romans graphiques dits noirs, à l’image de « Ronin », « Daredevil : Renaissance », « Batman: Dark Knight » et « 300 », Frank Miller revient en force pour coréaliser le film « Sin City J’ai Tué Pour Elle ». Mêlant deux albums classiques de Miller et des histoires inédites, l’intrigue, fait voler en éclats les idées préconçues sur ce qui est possible en matière de cinéma traditionnel.Sin-City-affiche

Robert Rodriguez tenait à tourner le film en 3D « native », plutôt que de le convertir en postproduction. Étant donné qu’il avait déjà utilisé une caméra Alexa, il en connaissait toutes les potentialités. Il a également eu recours au système Pace 3D.

Le film a été intégralement tourné sur fonds verts et a nécessité peu de décors en dur. Comme dans le premier opus, l’univers virtuel de Sin City est entièrement numérique. Cependant, les progrès technologiques récents ont permis aux réalisateurs de se rapprocher plus encore des illustrations de Frank Miller. Bien entendu, les romans graphiques de celui-ci ont servi de base de travail pour l’équipe Effets visuels.

Le producteur Effets visuels Crys Forsyth-Smith précise : « Robert souhaitait qu’on aille encore plus loin dans l’esthétique du film. La 3D permet au spectateur de se plonger au coeur de l’univers de Sin City ».

La société d’effets visuels Prime Focus a chapeauté l’essentiel des effets visuels et de la 3D. Au total, la production aura mobilisé quelque 2 300 plans d’effets spéciaux.

Sin-City-exemple