VIEUX FOURNEAUX (LES)
Ceux qui restent
Lucette, la créatrice du théâtre "le Loup en slip", vient de passer l’arme à gauche. Pierrot et Mimile, malgré tous leurs efforts, arrivent en retard à la crémation. Après la cérémonie, ils retrouvent Antoine, le mari de Lucette, leur ami de toujours. Ensemble, les trois septuagénaires ont tout vécu, l’enfance, les premières amours, les manifs, les révoltes… et aujourd’hui à soixante dix ans ils n’ont pas envie d’être plus sages qu’avant. Sortant de chez le notaire, Antoine décide de partir "faire un petit voyage". Ses deux amis partent à sa poursuite, car Antoine est parti sans bagage, mais avec un fusil…
Par aub, le 31 mars 2014
Lire les premières pages de VIEUX FOURNEAUX (LES) #1 – Ceux qui restent
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782505019930
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Notre avis sur VIEUX FOURNEAUX (LES) #1 – Ceux qui restent
Nouvelle aventure truculente signée Wilfrid Lupano, Les Vieux Fourneaux est une Bande Dessinée haute en couleur. Du début à la fin, ce sont des pépites d’humour semées à chaque page pour un album à la réussite indéniable.
Très clairement, l’histoire est une chronique sociale cinglante ou la comédie donne le ton général à l’histoire. Les textes sont d’une finesse et d’une précision piquante, nous déroutant régulièrement et nous donnant une giffle à chaque réplique. Une giffle de bonheur tellement les propos sont frais et vrais. Les personnages sont immédiatement adoptés tant ils sont attachants. Les trois septuagnaires ne sont pas les seuls protagonistes, en effet il y a aussi la ravissante Sophie, petite fille d’Antoine qui a un rôle capital dans l’histoire. Et puis, tous les personnages secondaires ont aussi leur importance et leur personnalité, sans forcément qu’ils soient énormément présentés dans les pages, Wilfrid Lupano réussit à nous les rendre attachants et consistants.
Dans cette histoire, Wilfrid Lupano, par de subtiles flashbacks, nous dévoile petit à petit les différents évènements qu’ont partagés les trois septuagénaires. Ainsi, nous découvrons prégressivement ce qui les a soudé et ce qui fait qu’aujourd’hui ils sont inséparables et complices.
Le trait de Paul Cauet se fond à merveille dans l’histoire, vif et taillé à la serpette tout en étant fin, il donne un ton à la fois caricatural, mais sans exagération, aux personnages, le tout agrémenté de couleurs magnifiques !
Un régal de Bande Dessinée par des auteurs de talents. Merci beaucoup et vivement la suite.
Par AUB, le 31 mars 2014
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