ALIX
Roma, Roma...
Dans une luxueuse villa à Ostie, le sénateur Arenus donne une fête grandiose pour fêter sa nomination . Alors que la fête bat son plein, un jeune homme débarque sur la plage avoisinante . Ce jeune homme qui se fait appeler Alix , reproche vertement au sénateur de ne pas l’avoir invité Son comportement intrigue Arenus qui , en l’observant de plus près, ne tarde pas à s’apercevoir de l’imposture .
Alors qu’il est sur le point de dénoncer le jeune homme, celui-ci le poignarde . S’ensuit un véritable massacre . Seule la femme du Sénateur, Julia, en réchappe . Elle fait le nécessaire pour prévenir Alix qui s’interroge . Cette attaque contre Arenus , qui semble avoir été orchestrée avec minutie, ne serait-elle pas en fait une manœuvre de Pompée, l’éternel rival de César ?
Par Lucania, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2203312246
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2 avis sur ALIX #24 – Roma, Roma…
Alix est un personnage crée vers la fin des années 1950 par Jacques Martin.
C’est devenu un personnage mythique du neuvième art.
Tout comme son créateur.
L’action d’Alix se passe à l’époque de Jules César avant qu’il ne devienne Empereur. Ici, il est encore général.
Cette série permet de croiser des personnages historiques comme Vercingétorix, Pompée, Cléopatre et bien d’autres.
C’est une série fort bien documenté., aux détails parfaits.
La ville de Rome, ses maisons, ses rues sont très bien rendus.
Le scénario est toujours signé Jacques Martin. Un scénario de bonne qualité, prenant.
L’intrigue est fort bien mené.
Il y a ce qu’il faut comme suspense, complot et autres scènes pour plaire au lecteur.
La fin est aussi fort bien réussi.
Le dessin depuis quelques épisodes est du au talent de Rafael Moralès.
Celui-ci respecte le trait de Jacques Martin.
On note que les personnages ont l’air d’avoir toujours une posture "théatrale".
Ce "Roma, Roma" est un épisode réussi.
Par BERTHOLD, le 8 février 2006
Ce tome d’ Alix, est somme toute de facture assez classique . Le scénario, assez bien ficelé, à le mérite de nous « promener » encore une fois dans la Rome de la fin de la République . Les manœuvres politiques de César et Pompée sont assez bien suggérées . Alix deviendrait presque un peu plus « humain » en flirtant un petit peu avec une jolie demoiselle…
Dans cette Rome là, apparaissent des personnages tels que Pompée plus vil que jamais, (puisque adversaire de César) où encore le vertueux Octavien, futur empereur… Des thermes aux rues de Rome, de la prison Mamertine au théâtre de Pompée, nous suivons le jeune homme et son fidèle compagnon Enak dans une Rome aux décors fabuleux et remarquablement bien dessinés…
Hélas, on ne peut pas en dire autant des personnages, raides et sans expressions . Le choix des couleurs n’est pas toujours très heureux (dans l’épisode du combat de gladiateurs, le jaune – presque fluo – du sable de l’arène fait même très mal aux yeux ) et le trait est parfois assez grossier . Les personnages sont figés , et entre la p26 et la p 47, ce cher Alix a du faire son quota de pompe et d’abdo/fessiers, car il est singulièrement plus musclé et carré à la fin de notre histoire qu’au début… Il a même les tablettes de chocolat…
Son profil également est différent. On dirait presque qu’il n’a pas été dessiné par la même personne … C’est dommage car l’aspect graphique peu soigné des personnages de l’album le rend un peu moins agréable à lire , et ce malgré une histoire tout à fait honorable …
Par Lucania, le 11 novembre 2005
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