ALIX
Le dieu sans nom

Alix et Enak sont envoyés comme ambassadeurs dans les steppes de l’Oural, auprès des Sarmates. Leur mission est de sécuriser les positions de Rome à l’Est.
Accompagné de Rumo, leur guide et traducteur, Alix rencontre le roi sarmate Eunonès. L’une des premières étapes pour Alix est de s’assurer que ce roi est bien neutre face à la position de Rome. Alors qu’Eunonès invite Alix et Enak à une chasse aux sangliers, les émissaires de Rome sont enlevés dans la steppe par la tribu des Androphages, une tribu du Nord. Alix va avoir une grosse surprise en voyant qui a mené cette attaque…

Par berthold, le 13 octobre 2020

Notre avis sur ALIX #39 – Le dieu sans nom

David B. revient pour la deuxième fois sur la série, après Veni, Vidi, Vici. C’est une très bonne chose qu’un scénariste comme lui reprenne en main cette série historique.

David B. apporte une touche assez personnelle sur la série, tout en gardant l’esprit de Jacques Martin.
Avec Le dieu sans nom, il nous invite à suivre Alix et Enak dans les steppes de l’Oural, auprès des Sarmates pour découvrir comment vivaient ces tribus.
Bien sur, il y a l’intrigue principale qui nous surprend avec une grande surprise. En effet, Alix se retrouve face à une adversaire que l’on n’aurait jamais pensé voir ici. Avec ce personnage, David B. tient quelque chose d’intéressant qui promet pour les prochains épisodes. Car mon petit doigt me dit que nous la reverrons bien assez tôt.
En attendant, on passe un très bon moment avec cette aventure réussie qui nous donne de bons frissons. David B. a de bonnes idées pour le personnage d’Alix.

Cela aurait été intéressant de voir Alix dessiné par David B. Mais c’est Giorgio Albertini qui se charge du dessin. On reste proche du style Jacques Martin, pourtant, le dessinateur insuffle du rythme au récit. Il fournit de très belles pages avec des paysages superbes. Les chevauchées dans la steppe sont magnifiques. Les personnages restent expressifs et vivants.

Avec une telle équipe créative, la destinée d’Alix est entre de bonnes mains. L’aventure est bien au rendez-vous.

 

Par BERTHOLD, le 13 octobre 2020

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