ALIX
La griffe noire
Pompéi au premier siècle avant Jésus-Christ est une ville opulente qui n’a pas encore eu a subir les colères du Vésuve. Alix y séjourne chez son cousin, en compagnie de son fidèle ami Enak. Cependant la ville n’est pas si paisible qu’il y paraît . De nombreux dignitaires sont frappés d’une étrange paralysie après avoir reçu une visite nocturne . Une griffe mystérieuse en serait la cause. Après enquête, Alix découvre que ces hommes on tous été impliqué , de prés ou de loin, dans la destruction d’une ville d’Utique, Icara, cinquante ans auparavant .
Alix va donc tenter de découvrir qui se cache derrière ces sinistres agissements et comment guérir les victimes paralysées …
Par Lucania, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2203312025
Notre avis sur ALIX #5 – La griffe noire
Voici une aventure qui transporte Alix de Pompéi aux mystérieuses terres d’Afrique avec ce que cela suppose d’exotisme . En effet les gorilles, serpents et autres crocodiles ainsi que les forêts denses sont au rendez vous . le courage, la ruse et l’intrépidité de son blond héros font le reste .La recette est classique mais efficace .
Clichés
Le scénario n’a rien d’ extraordinaire, mais l’intrigue se tient . Le thème d’une vengeance « carthaginoise » est intéressante, car elle permet d’appréhender les romains autrement qu’en tant que peuple bienfaiteur et civilisateur . On évite ainsi le piège du manichéisme dans lequel tombent parfois les publications jeunesses . L’incursion en Afrique est plaisante malgré un vocabulaire et des clichés qui ne sont pas sans rappeler Tintin au Congo par moment .
Classique
Le dessin est, somme toute assez classique . les traits d’Alix s’affirment un peu plus .
Pour finir on peut signaler la reconstitution très fidèle de Pompéi telle qu’elle devait être avant la grande catastrophe de 79 après JC. C’est assez agréable !
Bref , un opus classique des aventures d’Alix, avec tout de même quelques petites surprises. Notre héros en effet , ne réussit pas à tous les coups…cela ne l’en rend que plus humain…
Par Lucania, le 19 août 2003
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