ARCTICA
La planète des Cyborgs
L’humanité est au bord de l’extinction. Les androïdes dominent le monde. Dakota, Lulha, Mismy et Kambo sont les derniers humains. Ils sont retenus prisonniers sur une île. Ce jour-là, des policiers sont venus chercher Dakota. Le Président voudrait le rencontrer. Sauf que, pendant le voyage, un des agents lui apprend qu’en fait, ils ont reçu l’ordre de l’éliminer. Ainsi, sans lui, les femmes ne pourront plus se reproduire et ce sera la fin des hommes. Mais Dakota n’est pas du genre à se laisser faire…
Par berthold, le 29 mai 2024
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782413080008
Notre avis sur ARCTICA #13 – La planète des Cyborgs
Etrange le titre du nouveau Arctica. Il nous rappelle celui d’un célèbre roman de Pierre Boulle. Avec La planète des Cyborgs, Pecqueur imagine une nouvelle intrigue où il ne reste plus beaucoup d’humains. Et ce sont les androïdes qui dominent la Terre.
En fait, des humains, il ne reste que Dakota, Mismy, Kambo et Lulha. Comme vous le constaterez, les androïdes veulent en finir avec les hommes. Et pour qu’il n’y en ait plus, il suffit de se débarrasser de Dakota. Ainsi, commence cette nouvelle aventure, où le héros va trouver de nouveaux alliés et se retrouver embarqué pour un étrange voyage : celui dans le temps.
Le scénariste parvient à nous captiver avec ces différentes intrigues et nous amène à nous poser des questions concernant les dernières scènes. Que s’est-il passé lors de ce voyage ?
Kovacevic réalise toujours de belles pages. Certains passages sont superbes mais peu utilisés dans ce récit : les scènes sous-marines. Il est vrai que Pierre Schelle fait un travail fantastique sur les couleurs. Ses teintes de bleues sont juste magnifiques. Il sait créer des ambiances et des atmosphères grâce à sa palette de couleurs. Kovacevic donne du rythme et du mouvement à ses planches.
Ce tome 13 d’Arctica reste une très bonne lecture et un bon divertissement. Le titre mérite toujours sa place dans le label Serie B de chez Delcourt.
Par BERTHOLD, le 29 mai 2024
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