ARTHUR
Myrddin le Fou
Cette série a pour objectif de mettre en bd les grands récits arthuriens primitifs, c’est à dire antérieurs au moyen âge. Ce 1er tome s’attache à
retracer la jeunesse de Myrddin, (plus connu dans nos contrées sous le nom de Merlin) de sa naissance sans père jusqu’à la délivrance de sa folie par Taliesin le barde, en passant par sa rencontre avec le roi Emrys Gwledig et
son mariage avec Gwendolyn.
Par McFly, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2840552663
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2 avis sur ARTHUR #1 – Myrddin le Fou
A vrai dire, une bande dessinée revisitant l’histoire celtique, c’est plutôt courant. Mais une BD arrivant à captiver avec des pavés de texte et un dessin réaliste sans trop de fioritures, là, c’est carrément rare. C’est pourtant le cas d’Arthur, qui malgré une histoire plutôt dense, arrive à nous faire entrer dans l’aventure, même si l’histoire a déjà été écrite il y a bien longtemps.
Pour les noms, je ne serais pas d’accord avec McFly, car je leur trouve du charme, et les sonorités me plaisent assez, car elle ajoute à la densité du récit. de plus, le petit lexique de la fin de la BD permet de retrouver les correspondances entre noms réels de l’histoire celtique, et noms attribués aux personnages de la BD. Il est à mon avis plus aisée de lire la BD comme une BD normale, puis ensuite, avec le lexique, de la relire, pour faire le parallèle entre histoire en bulles et Histoire.
En résumé, si d’un premier abord j’ai été un peu rebuté par une BD historique, j’ai été agréablement surpris en lisant cette BD, qui m’a captivé du début à la fin. Les dessins ne sont pas en reste, et conviennent parfaitement à une BD d’histoire, dans un style réaliste normal sans fioriture. A lire.
Par Siam l'Archiviste, le 16 juin 2003
A la 1ère lecture, Arthur est déroutant, la profusion de noms en gaëllique imprononçables rendant la lecture et la compréhension du récit peu aisées. Une fois que l’on a compris qu’il ne fallait pas chercher à déchiffrer les noms,
les qualités de narrateur de Chauvel permettent d’avancer tranquillement
dans le récit, le rythme est lent, on a vraiment l’impression de se laisser
conter une légende celtique.
Le dessin réaliste de Lereculey colle parfaitement à l’histoire de Chauvel,
et les couleurs de Simon, sans être exceptionnelles, nous immergent
totalement dans le récit.
Arthur est une approche inhabituelle des contes et légendes celtiques, ça
change des récits traditionnels vus et revus, et c’est très bien comme ça.
Par McFly, le 12 juin 2003
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