ASSASSIN'S CREED
Desmond

Prisonnier d’un laboratoire expérimental secret, Desmond Miles ne sait pas pour quelles raisons il se trouve sequestré, mais aussi quelles expériences sont pratiquées sur son corps.
Grâce à « l’animus », une machine qui permet de visionner le passé, on découvre « en direct » les missions d’Aquilus, mercenaire romain du IIIe siècle, d’Altaïr, disciple d’Al Mualim au XIIe siècle, et enfin d’Ezio, l’assassin de la Renaissance. Trois ancêtres de Desmond Miles.

Par aub, le 2 janvier 2010

Publicité

Notre avis sur ASSASSIN’S CREED #1 – Desmond

Qui n’a pas entendu parler de ce jeu vidéo d’Ubisoft… et pourtant vendu à plus de 8 millions d’exemplaires, dont 10% en France, ce n’est pas honteux de se dire qu’avec un tel marché, il serait regrettable de ne pas essayer de faire un album de Bande Dessinée. Et au moins, si quelques joueurs du jeu prennent le temps de lire cette BD, peut-être iront-ils vers d’autres albums après ?
Un grand hélas, j’ai l’intime conviction que les auteurs n’ont pas pu faire ce qu’ils voulaient avec cette BD, et que les contraintes du commanditaire ont été tellement grandes que le résultat n’en est que médiocre.
Et pourtant, il y avait moyen de faire quelque chose de vraiment bien. Deux bons auteurs, un univers riche… Tous les ingrédients étaient réunis, et au final, c’est quand même quelque peu raté. Les illustrations sont un peu trop légères parfois, comme si il avait fallu se dépêcher sur certaines planches. Nous avons connu Défali dans de meilleurs jours.
Dommage.

Par AUB, le 2 janvier 2010

Publicité