BLEACH
End of Hypnosis

Matsumoto affronte Kira pendant que Hitsugaya part à la recherche de Hinamori. Alors que cette dernière arrive à la tour de la sérénité, elle découvre avec stupeur que le Capitaine Aizen est toujours vivant. Elle n’a cependant pas le temps de se réjouir : alors qu’elle croit avoir enfin retrouvé celui qu’elle admire tant, elle se fait poignarder par ce dernier.
Hitsugaya arrive trop tard pour sauver son amie. Il comprend qu’il a été manipulé par Aizen et Ichimaru mais en dépit de sa résistance, il est balayé par ses adversaires.

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur BLEACH #20 – End of Hypnosis

L’affrontement prend un nouveau visage dans ce volume : on découvre qu’il ne s’agit plus seulement d’une lutte entre le clan d’Ichigo et les membres du Seireitei mais que tout a été manigancé par un troisième groupe mené par Aizen.

On soupçonnait, dans les précédents tomes, qu’il y avait une certaine anormalité dans la procédure d’exécution de Rukia mais le lien avec le décès d’Aizen restait vague. Tout prend désormais un sens : Aizen s’est servi de son Bankai pour hypnotiser les autres shinigami et pouvoir manœuvrer en toute discrétion.
Ce complot de grande ampleur avait pour objectif de s’emparer d’une découverte de Kisuke Urahara cachée dans le corps artificiel de Rukia et d’accéder ainsi au pouvoir absolu.

L’auteur ouvre de cette façon la voie à un tout autre récit opposant les Shinigami aux Hollows : face à ce nouvel ennemi, tous vont devoir s’unir.
En outre, il éclaire un peu plus la nature d’Ichigo et de ses pouvoirs hors normes. Il devient évident qu’il sera le seul à pouvoir s’opposer à Aizen et à ses projets puisqu’il a accès à la Hollowmorphose.

Avec ce volume, le récit prend un nouveau souffle.

Le graphisme reste d’un haut niveau. Le trait est fin et l’encrage dénote un réel souci du détail. L’auteur privilégie un ombrage par hachurage plutôt qu’une utilisation uniforme des trames. Si les traits sont parfois flouttés, notamment dans les scènes de combat, les cases restent parfaitement lisibles. On a l’impression qu’il a utilisé des pinceaux larges de calligraphie.

Un volume rempli de révélations !

Par KOMORI, le 23 avril 2007

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