BUNKER
Le mal des montagnes
Anika a quitté le Veliistok accompagnée par Lossef. Elle fait route vers les Territoires du Sud pour récupérer ce qui lui est du. Elle est enceinte d’Aleksi Stassik. Ce dernier vient d’ailleurs d’apprendre cela grâce à Velikic.
Pour éviter le conflit avec les Très-Hauts, une armistice est la seule possibilité entre les trois nations qui continuent à se battre. Si Anika s’occupe des Territoires du Sud, Velikic doit trouver la solution pour convaincre le Veliistok et Aleksi se rend chez les Ieretiks…
Par berthold, le 14 juin 2012
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782800149233
Notre avis sur BUNKER #5 – Le mal des montagnes
Voici la conclusion tant attendue de cette saga en cinq tomes concoctée par Christophe Bec et Stéphane Betbeder.
Le lecteur aura droit dans ces pages à toutes les questions qui le taraudent depuis les premiers tomes. Cet ultime opus va nous dévoiler le destin de certains des personnages principaux comme Aleksi ou Aneka. De cela vient la solution, l’espoir.
Les deux scénaristes nous tiennent en haleine avec ce récit bien écrit et bien prenant qui ne laisse personne indifférent. Le suspense est bien maintenu et vous tient en haleine comme il faut.
De nouveau, il y a une ambiance qui ressort de cette histoire servie par de nombreuses scènes importantes et spectaculaires.
Par contre, il vaut mieux ne pas être trop fatigué pour entamer cette lecture sinon vous risquez de vous y perdre un peu et de ne pas apprécier.
Le graphisme de Genzianella est à la hauteur de cette saga. Il dessine une nouvelle fois des planches d’une grande efficacité. Regardez donc dans les dernières pages l’ascension d’Aleksi et de ces compagnons, par exemple. Le tout est bien servi par les couleurs de Marie-Paule Alluard qui fait là encore du très beau travail.
Je ne vous en dis pas plus si ce n’est que vous pouvez sans hésiter vous procurer la série Bunker et, vous verrez, vous prendrez plaisir à lire l’histoire d’Aleksi Stassik !
Bunker n’est pas une série facile mais reste d’une grande qualité et mérite vraiment le détour !
Par BERTHOLD, le 14 juin 2012