CH CONFIDENTIEL
Nom de code : Voltaire
Genève, en ce mois de juin. Une prostituée, Anna Paccio, est trouvée morte dans une chambre de l’hôtel Voltaire. A ses côtés, un homme, Gilberto Guzulo, mort aussi. On veut faire croire à une mise en scène : l’homme aurait tué la femme puis se serait suicidé.
Et puis, il y a un lien avec un petit gigolo devenu propriétaire d’une boîte de nuit réputée, ainsi qu’un important homme d’affaire qui possède des intérêts en Afrique.
La brigade des moeurs, Interpol et la brigade financière vont se charger de l’affaire. Mais c’est la B.E.R., la Brigade des Enquêtes Reservées, qui sera chargée de la résoudre…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782803622696
Notre avis sur CH CONFIDENTIEL #2 – Nom de code : Voltaire
Ce que le lecteur attend lorsqu’il lit un thriller, c’est de ne pas tomber sur une enquête facile, un récit à la trame classique et il veut être surpris. Avec la collection Troisième Vague, au moins, le lecteur n’est pas déçu avec des titres aussi différents que Niklos Koda, Alpha ou Capricorne par exemple.
Avec cette série CH Confidentiel dont le tome 2 vient de paraître, dont le titre est Nom de code : Voltaire, l’auteur suisse, Daniel Ceppi, ne signe pas un thriller classique, mais plutôt un thriller de bonne facture. Tout comme son dessin réaliste, il décrit des situations tout autant réalistes. Une des originalités, c’est aussi cette brigade de policiers suisses, cela nous change des policiers américains ou français. Et puis, il a créé des personnages dont nous avons envie de suivre les aventures.
D’ailleurs, nous retrouvons avec plaisir la belle Zoé, Ethan, Matt et les autres collègues pour cette nouvelle enquête.
Ceppi qui avait déjà séduit le lecteur avec Stéphane Clément ou CD Corps Diplomatique, va de nouveau convaincre les lecteurs avec cette série qui a parfaitement sa place dans la collection Troisième Vague. Il sait rythmer son récit. Sa narration est bien construite. Je trouve bien de situer dans le temps cette enquête. Et puis, un autre avantage, c’est que chaque enquête se termine au bout de ces 48 pages.
Bon, je vous avais déjà dit que cette série était à découvrir, mais là, je vous le confirme !
Par BERTHOLD, le 14 septembre 2007
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