CHOUCAS (LE)
Enfonce le clou

C’est sur une dépêche annonçant le dopage d’un couple de danseurs de paso révélée par le journaliste-vedette du petit écran, J.C.D.A., que le Choucas se vêt pour aller dîner chez Odile sa sœur.
Evitant de peu la corvée grâce à l’intervention à point nommé d’un vendeur de pizza, il retourne chez lui où l’attend une étrange missive. Elle émane d’un client anonyme qui le somme de quêter sur le devenir d’anciens élèves du collège de Saint-Eustache gérés par Mademoiselle Méthode 38 ans auparavant.
La rétribution étant établie au prorata des personnes retrouvées, le choucas prie que tous soient sains et saufs et vole à leur recherche en se posant la question sur le véritable intérêt de cette enquête.

Par phibes, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur CHOUCAS (LE) #3 – Enfonce le clou

Détective migrateur, le choucas est de nouveau mis sur la brèche dans une affaire tortueuse où sont mêlés bon nombre d’individus se distinguant par leur charisme inhabituel dû à leur physique ou à leur façon de fonctionner.

Hormis le concierge actuaire de l’immeuble où habite le Choucas et le conducteur de taxi amateur de vieilles cylindrées qui sont des personnages que l’on retrouve au fil de chaque épisode, apparaissent un soixante-huitard hors zone qui milite contre la délocalisation d’une gendarmerie, un corse bien revêche, un chauffeur de salle meurtri par son travail, une institutrice rigoureuse et rancunière…

Le tout est servi dans une polémique de dopage entretenue par un journaliste omniprésent aux initiales évocatrices d’un homme de télé que nous connaissons bien.

Comme à son habitude, Lax semble se délecter dans ses histoires de polar abracadabrantes avec lesquelles il vient nous marteler les neurones à coup de rebondissements désarmants et de graphiques de toute beauté. Le résultat est flagrant puisqu’une fois l’affaire résolue, on classe celle-ci sur notre étagère des enquêtes réussies avec le sourire approbateur aux lèvres en se demandant ce que l’auteur nous réserve pour le prochain dossier.

Par Phibes, le 6 mai 2007

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