DONJON CRÉPUSCULE
LE DOJO DU LAGON
Terra Amata s’étant disloquée, Marvin le dragonniste et Marvin rouge partent en quête, tant bien que mal, afin de retrouver Zakûtu.
Ils sont alors attaqués par une femme dragon qui possède une progéniture ressemblant étrangement à Marvin.
Sans le savoir, Nos deux héros vont faire la rencontre de la femme du fils de Marvin, Baal, qui entend bien faire respecter les traditions au sein de la confrérie des Artichauts.
Par Matt, le 1 janvier 2001
2 avis sur DONJON CREPUSCULE #104 – LE DOJO DU LAGON
Un tome assez étrange, en finesse et en faux rythme. Cela débute avec quelques gags coutumiers (les bestioles qui décomptent le temps sont vraiment rigolotes) et avec les habituelles histoires entre un maître et son jeune élève, les deux Marvin étant dans leurs rôles habituels.
Mais rapidement le ton change. A l’habituelle galerie de personnages toujours aussi savoureuse se substitue une étonnante parabole sur les archaïsmes religieux avec en toile de fond les péripéties amoureuses de Marvin.
Au final cet opus ne fait pas beaucoup avancer la trame de la saga crépuscule, mais il est très agréable à lire, il distille certains messages sans trop de prétention ni de subtilité : j’ai pris beaucoup de plaisir à m’immerger dans cette histoire moins épique qu’à l’accoutumée, mais toujours aussi plaisante.
Par TITO, le 4 juillet 2005
Que les fans de l’univers Donjon se rassurent! Après une répartition aussi aléatoire que douteuse au sein de la série Monsters, Crépuscule regagne ses pénates et donc sa série propre.
J’étais comme beaucoup désappointé par la fâcheuse manie de rassembler toutes les séries de l’univers Donjon au sein de Monsters, cela n’avait aucun sens. La parution de ce tome 104 de crépuscule, sous la bannière Crépuscule à proprement parler, m’a donné tout de suite l’envie de le lire.
Je n’ai été en aucun point déçu par ce tome, qu’on se le dise.
On découvre la famille de Marvin le dragonniste et une remise en question spectaculaire des valeurs religieuses qui régissent le clan des Dragonnistes, c’est à dire les Artichauts.
Le trait de Kerascoët, que je ne connaissais pas, ne pouvait pas mieux correspondre à la série, c’est donc de beaux dessins appuyés par un scénario sans failles que vous retrouverez dans cette Bd.
La fin en retournera plus d’un, je vous l’assure car Marvin se retrouve face à un dilemme de taille, je n’en dis pas plus!
Par Matt, le 25 juin 2005
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