GYAKUSHU !
Tome 2

Le voleur croyait en avoir vite terminé avec Wretchik. Mais il ne s’attendait pas à cette révélation qui allait le marquer profondément.
L’empereur Viktor envoie d’autres tueurs sur les traces du voleur : trois frères sans pitié et amateurs de viandes bien fraiches ainsi que celui que l’on nomme le Bélier.
Ils ont pris la piste du nord, là où le voleur pense trouver des traces de celui qui l’a trahi.

 

Par berthold, le 7 février 2012

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Notre avis sur GYAKUSHU ! #2 – Tome 2

Et bien, Ankama ne nous aura pas fait attendre fort longtemps pour avoir la suite de cette série déjantée, imaginée par Dan Hipp.
Gyakushu ! semble être un mix de Lone Wolf and Cub et d’un western spaghetti, dans un univers fantasy, le tout arrangé à la sauce Tarantino. Il ne nous manque plus que la bande son.

Dans ce second tome, Hipp arrive une nouvelle fois à nous surprendre. Il n’emmène pas le lecteur là où ce dernier imagine aller. L’auteur brouille les pistes et nous donne de bons gros rebondissements. Le lecteur y cotoyr trois frères complétement dingues, tueurs et antropophages, ainsi qu’un énigmatique guerrier qui semble poursuivre personnellement le voleur. Il y a aussi cette tenancière de bar qui semble avoir un lien avec lui. D’ailleurs, une grosse révélation nous attend dans ces pages, ce qui va aussi booster l’intêret pour la saga.
Hipp a un sacré sens de l’écriture et de la mise en scène de sa saga.

Au dessin, il a son propre style, très inspiré du manga (voir Lone Wolf and Cub ou encore L’habitant de l’infini), mais aussi du monde du comics. Il y a une certaine force qui ressort de ces planches. Certaines cases sont assez violentes et percutantes. Voir le "pique-nique" des trois frères. Entre autre.
Le noir et blanc convient parfaitement à cette histoire.

Devant un tel engouement provoqué par ce deuxième opus, il ne nous reste plus qu’à attendre patiemment le prochain et dernier tome de la série !
Toujours est-il qu’il est fortement déconseillé de rater la lecture de ce tome ci et du précédent.

Par BERTHOLD, le 7 février 2012

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