HEROBEAR & THE KID
l’heritage
Le jeune Tyler vient de perdre son grand-père et comme héritage il reçoit une vieille montre (cassée) et un ours en peluche. En plus il déménage dans une nouvelle ville et nouvelle école. Il essaye de faire de son mieux pour se faire des amis pour son premier jour de classe mais rien ne se passe comme prévu. Surtout il découvre que son ours en peluche se transforme en Herobear : un ours de trois mètres avec une cape rouge de super héros.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2916322000
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Notre avis sur HEROBEAR & THE KID #1 – l’heritage
Que dire de plus et en moins bien que tous les petits mots laissés par d’autres auteurs américains dans cet album (Joe Quesada, Jeph Loeb, Tim Sale, Terry Moore, J. Scott Campbell). Cette bande dessinée était dans un rayon sans aucune explication, et dès un regard sur la couverture, c’était déjà dur de résister. Apres avoir ouvert l’album et regardé très rapidement les pages, c’était impossible. Cela fait deux jours que je reste bloqué sur cet album à décortiquer toutes les cases une par une.
L’album donne l’impression de ne pas être fini. C’est comme si j’avais en main un album à la fin des crayonnés, juste avant l’encrage. Sauf qu’il y a une toute petite touche de couleur (le rouge) quand la peluche est transformée en Herobear. C’est peut-être cette composition qui rend vraiment le tout vivant. Car j’ai l’impression que beaucoup d’encrage et nettoyage "figent" le dessin en général. A moins que cela ne vienne aussi des personnages qui sont vraiment très expressifs, on arrive vraiment à reconnaître tous les sentiments qu’ils devraient avoir.
Et en plus d’un dessin vraiment magnifique, il y a une histoire très "mignonne" où un petit garçon, qui découvre sa nouvelle vie après l’enterrement de son grand père et un déménagement, doit "refaire" sa vie. J’ai adoré les commentaires en voix off où il explique que sa situation n’est pas simple. Et que devoir refaire sa vie à dix ans est très difficile surtout quand le premier jour d’école ne se passe pas au mieux.
Comme certains auteurs l’ont dit, on retrouve un peu le ton de Calvin et Hobbes dans cette bande dessinée. A part peut-être que Calvin a grandi et qu’à 10 ans on ne se balade plus avec sa peluche. "Ca fait naze ! " pense-t-il.
Il y a vraiment beaucoup de choses dans cet album, il plaira aux plus jeunes par le côté rêves et aventures et aux plus âgés pour tout ce qu’il dégage. Bref, mon premier gros coup de cœur en ce début d’année.
Par Fef, le 9 février 2006
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