HISTOIRES EXTRAORDINAIRES D'EDGAR POE
Le scarabée d'or
Octobre 1845. Caroline du Sud.
Edgar Legrand est né à la Nouvelle-Orléans et appartenait à une famille riche. Mais le destin a voulu que certains malheurs l’aient réduit par la suite à la misère. Il quitta la Nouvelle-Orléans pour s’installer sur l’île de Sullivan, près de Charleston. Il y construisit une demeure où il vécut avec Jupiter, un ancien esclave affranchi.
Ce jour-là, il reçut la visite du lieutenant Garth. Ils firent un tour de l’île et tombèrent sur un vieux navire échoué. Legrand trouva un étrange scarabée couleur or qui le mordit. Jupiter le récupèra grâce à un parchemin trouvé près du navire…
A partir de ce jour là, Legrand allait vivre une véritable obsession concernant ce scarabée. Son ami William Wilson allait essayer de lui venir en aide pour mettre un terme à cette obsession…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Sortie :
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ISBN :
9782203004726
Notre avis sur HISTOIRES EXTRAORDINAIRES D’EDGAR POE #1 – Le scarabée d’or
A peine un mois après la sortie de Wild River, Casterman nous propose une nouvelle série signée du scénariste de Fog, Roger Seiter. Avec Histoires Extraordinaires d’Edgar Poe, Roger Seiter s’attaque à une libre adaptation de l’oeuvre d’E.A.Poe. Ce premier tome propose, lui, une libre adaptation de la nouvelle Le scarabée d’or.
Finalement, c’est une bonne surprise que cette adaptation. J’ai été pris dans le récit dès la première page en suivant l’aventure que vont vivre Wilson, Legrand et Jupiter. D’ailleurs, je trouve que les personnages de Wilson et Legrand ont assez de présence pour vivre de nouvelles aventures par la suite. En effet, ici, c’est à une course au trésor, celui du pirate le capitaine Kidd, que nous allons assister. Mais aussi à une vengeance après une partie de cartes. Seiter délaisse ses récits victoriens comme Fog pour nous plonger en Caroline du Sud dans les années 1850. Il nous permet de découvrir une belle reconstitution de Charleston ces années-là.
C’est Thouard qui est chargé de l’illustration et ma foi, même si les couleurs peuvent rebuter, j’avoue que j’ai bien apprécié le style. Il reconstitue parfaitement cette période. On a vraiment l’impression de se retrouver en 1854 sur le port de Charleston, avec ses bateaux, ses bars et autres. Et puis, le dessin est assez dynamique pour que l’on s’intéresse à ce récit.
La préface est signée de Pierre Dubois, le fameux elficologue.
Un premier tome qui débute bien et qui inaugure une série qui s’annonce fort prometteuse.
Par BERTHOLD, le 14 avril 2008
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