HITMAN
Part time killer

 L’index droit sur une gâchette, une alliance à l’auriculaire gauche. Voilà la nouvelle existence de Tôkichi, salaryman timide et empoté, forcé de devenir tueur à gages du jour au lendemain. Une double vie faite de courbettes en journée et de gunfights en soirée.

Par PEK, le 31 janvier 2011

Publicité

Notre avis sur HITMAN #1 – Part time killer

 Avec un titre aussi accrocheur je m’attendais à un véritable Seinen plein d’actions, de bastons et de sang … Mais dès les premières pages la base est posée ! Dans la présentation des personnages on peut lire : "Double Flingue" Doit son surnom non pas au fait qu’il se sert de deux armes à la fois mais au fait qu’il possède un gros "magnum" entre les jambes."

Bon passons outre ces considérations d’un intérêt hautement philosophiques et indispensables à la suite de cette histoire pour commencer la lecture de cet album et tenter d’en apprécier la saveur ! Le héros est un peu un Spiderman, c’est à dire qu’au début de cette aventure il s’agit un peu de "monsieur tout le monde" voir même de "monsieur raté" avant qu’un élément perturbateur ne vienne changer à tout jamais son quotidien … On peut dire en quelque sort qu’il s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment … Le seul problème c’est que devant remplacer le tueur à gages le plus prometteur de sa génération notre héros se retrouve coincé dans un milieu qu’il ne connait pas avec la double obligation de continuer à mener sa vie normale à côté sans éveiller l’attention de sa femme et aussi … de ne jamais se montrer nu car il s’avère que le "double flingue" qu’il doit remplacer portait bien son nom alors que lui … est … moins gâté par la nature !

Autant dire que si on excepte les scènes de sexe totalement inutiles au bon déroulement de l’histoire et cette histoire de "magnum" entre les jambes on a tout de même droit à quelques scènes bien sympas même si je ne comprends toujours pas comment un novice dans le milieu du crime peut réussir à toucher autant de méchant dans tout l’album en ne prenant qu’une bastos …. dans le postérieur ! Quand je vous disais qu’ils ne pensent qu’à ça !

Par PEK, le 31 janvier 2011

Publicité