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HOMME DE L'ANNEE (L')
1888 - Le véritable Jack l'éventreur

1888 à Londres, le quartier de Whitechapel. Des prostituées sont assassinées par un mystérieux assassin qui les mutile. Scoland Yard n’a pas de piste pour pouvoir l’arrêter.
Sur le corps de Catherine Eddowes, un chale a été récupéré par le policier Amos Simpson, qui le ramène chez lui en pensant que sa femme pourrait le rapiécer et le nettoyer, mais elle n’apprécie pas ce cadeau.
Durant cette même période, Aaron Kosminsky, un rescapé des pogroms russes, semble avoir un comportement étrange qui inquiète sa soeur Matilda…

Par berthold, le 24 juin 2018

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Scénariste :

CEKA
dessinateur :

Benjamin BLASCO-MARTINEZ
Coloriste :

Benjamin BLASCO-MARTINEZ
Éditeur :

DELCOURT
Collection s :

Série B
Genre s :

Drame

Historique

Polar
Sortie :

avril 2018
ISBN :

9782756085548

Notre avis sur HOMME DE L’ANNEE (L’) #13 – 1888 – Le véritable Jack l’éventreur

Avec ce treizième tome de la série, le scénariste Céka s’intéresse à l’histoire de Jack l’éventreur et à l’homme qui aurait permis d’identifier le tueur.

L’histoire est bien construite, intéressante à plus d’un titre. L’intrigue est crédible.
Céka crée un bon portrait de ce "Jack l’éventreur" et nous raconte comment ce "monstre " est né. Même s’il ne nous en dit pas plus sur le pourquoi de ses agissements. Cette partie là n’étant pas très approfondie. Néanmoins, il nous emporte et nous tient en haleine jusqu’au bout. Mais j’ai l’impression qu’il manque quelque chose pour donner à ce tome le petit plus qui aurait pu le placer dans le top de cette série.
Les personnages sont bons, c’est bien documenté, mais ça n’est pas suffisant… Peut être aurait il fallu que la pagination soit plus importante pour mieux développer certaines parties de l’intrigue.

Le dessin de Benjamin Blasco-Martinez est très efficace. Avec sa mise en page et sa mise en couleurs, il nous entraîne dans l’atmosphère du Londres de 1888. On sent le brouillard, le côté morbide et violent des crimes commis par Jack l’éventreur. Une partie graphique emballante.

1888 est un bon album, un bon divertissement qui nous montre une version plausible des crimes de Jack l’éventreur. Les amateurs apprécieront cette lecture.

Par BERTHOLD, le 24 juin 2018