IR$
Le Corrupteur
Pour comprendre le lien entre les assassinats d’un dictateur asiatique en exil, du proche d’un haut fonctionnaire californien soupçonné de corruption et le procès du colonel Stosky (voir tome 5 ), Larry B. Max, l’agent de l’IR$ remonte des pistes jusqu’à trouver une Sté du nom de « Silicia Inc. »
Ses enquêtes lui montrent finalement que Silicia est une femme bien réelle et qu’elle est une dangereuse corruptrice. Pour atteindre Larry, Silicia va chercher et trouver le point faible de son adversaire.. ce sera Gloria. Entre ces deux personnages, la lutte commence et pas à pas.. les cartes vont tomber.
Mais qui des deux sera le plus fort ?
Par MARIE, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2803619857
Notre avis sur IR$ #6 – Le Corrupteur
Suite du diptyque concernant la corruption de haut vol dans les milieux financiers et qui suscitent la curiosité des auteurs.
A partir de cet épisode, l’implacabilité du héros est mise en danger. On le croyait homme de fer, froid, insensible.. et bien non, bonne nouvelle, il est amoureux ! Malheureusement pour lui, cela représente aussi son talon d’Achille. Ce tome 6 commence donc à montrer que l’agent du fisc n’est pas qu’une machine et bien que froid, ce héros est attachant.
Le dessin de Vrancken est précis, fouillé dans les décors et de plus en plus émouvant. Les visages deviennent expressifs et les couleurs de plus en plus ciblées. La rencontre entre les différentes étapes semble réussie. Les auteurs se captent bien, dialoguent sans doute au moyen de leur bande dessinée.
Bien que commerciale, la série n’en est pas moins assez touchante.. et puis il faut reconnaître quand même que parler de l’IR$ en bande dessinée et rendre attrayant cet organisme est une idée intéressante. Les auteurs ont pris ce risque et la passion aidant, la série est vraiment très agréable à lire ,à regarder aussi …
Ayez un œil curieux sans a priori, vous trouverez une histoire qui détend et qui malgré tout change un peu de registre.. c’est une bd commerciale qui reste originale.
Par MARIE, le 15 avril 2004