JUSQU'A CE QUE LA MORT NOUS SEPARE
Shadow
Mamoru a bien compris qu’il n’avait pas pu s’en sortir seul, cette fois. Ce constat l’a mis dans un tel état que, comme un gamin capricieux, il n’a pas voulu entendre ses coéquipiers lui expliquer qu’il était normal que ses adversaires aient pu le mettre plus en danger qu’auparavant puisqu’ils avaient pu adapter leur stratégie après analyse de ses actions passées. Et comme un gamin capricieux, il a alors laissé ces lunettes qui font de lui un aveugle doté de perception visuelle et a décidé de prendre le large pour quelques jours… Avec Haruka qui a tenu à l’accompagner.
L’attitude du samouraï n’a pas été du tout appréciée par Elements Network. Du jour au lendemain, Mamoru n’était plus considéré que comme un déserteur… Du jour au lendemain aussi, son collaborateur Igawa a dû faire équipe avec un autre. Une autre tête brûlée, soit dit en passant !
Et puis Mamoru a reparu. Il a resurgi. Quand et où personne ne s’y attendait…
Par sylvestre, le 23 décembre 2009
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782355920943
Notre avis sur JUSQU’A CE QUE LA MORT NOUS SEPARE #9 – Shadow
C’est un tome très intéressant que ce tome 9. La force des actions dans cette série était en effet telle qu’on pouvait redouter de ne plus y être surpris par rien. Or, les auteurs la jouent fine en envoyant Mamoru sur la touche tout en nous présentant un autre personnage à fort charisme (Dai) avant de mettre en scène un rapide retour du héros aveugle. En plus de la complexité des relations entre Elements Network, la police et les mafia, l’idée de querelles internes fait donc son apparition.
Si le sabre au pelliculage mononucléaire était l’arme ultime qui faisait la force de Mamoru, c’est une moto nous rappelant Tonnerre Mécanique qui fait celle de Dai. Reste à savoir si les deux hommes sauront faire utilisation commune de leurs outils ou si, comme la tournure des événements semblent l’annoncer, on va traverser une zone de turbulence entre les deux successifs collaborateurs d’Igawa.
L’intérêt du lecteur reste en éveil. Il attend la suite…
Par Sylvestre, le 23 décembre 2009
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