LOVE & COLLAGE
Tome 8
Hachibé voit arriver un nouveau concurrent dans sa vie. Sakurako retrouve en effet, par hasard, son ancien petit ami, Taniyama. Tous deux étaient fâchés, mais le jeune homme est bien décidé à reconquérir le cœur de la belle.
Ah, la vie d’un fétichiste n’est pas de tout repos ! Et cela ne s’arrange pas quand Hachibé fait la connaissance de la fille aux lèvres parfaites. Il la sauve des griffes de deux agresseurs dans la rue. Mais il s’avère que ces hommes sont des policiers et que cette fille est recherchée pour… tentative de meurtre ! Elle est pourtant tout ce qu’il y a de plus douce et gentille. Hachibé décide de l’aider dans sa cavale sans penser aux conséquences.
Par legoffe, le 1 janvier 2001
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782351423837
Notre avis sur LOVE & COLLAGE #8 – Tome 8
Love & Collage est une des séries manga les plus loufoques que je connaisse. Je retrouve toujours avec plaisir Hachibé et ses amis. Après l’installation d’une vraie romance dans le précédent épisode, j’étais curieux de voir comment l’auteur allait gérer cela dans ses nouveaux épisodes.
Finalement, il évite de trop en faire sur le sujet, malgré – bien sûr – quelques moments clés, notamment l’arrivée dans la série de l’ancien petit copain de Sakurako. Il y a aussi la fameuse invitation à la fête du lycée, qui se termine par une déclaration percutante de la jeune femme. De quoi bien rire une fois encore !
Pourtant, les trois premiers épisodes, certes sympathiques, manquaient d’originalité et semblaient reprendre des situations déjà vues dans de précédents tomes. J’avais un peu peur que Inoue commence à manquer d’imagination. C’était bien mal connaître l’auteur ! Ce petit grain de folie qui nous plait tant est revenu aussi sec, dès la course poursuite entre Hachibé et la police, dans sa fuite de sa nouvelle protégée. Dès lors, les gags et les scènes cocasses se sont succédés à un rythme effréné. Vous y trouverez encore de quoi rire un bon moment. Pourvu que cela ne s’arrête pas de sitôt !
Par Legoffe, le 3 avril 2009