LUCHADORES FIVE
Les créatures du lac de cuir noir
Diablo Loco est toujours porté disparu. Gladiator pense que cela a un lien avec ce qui se trame sur la plage avec cette bande de surfeurs et les créatures du lac de cuir noir.
Le reste de l’équipe des Luchadores Five s’est regroupé pour retrouver leur ami et découvrir ce qui se cache derrière tout cela.
Par berthold, le 26 mars 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2731622679
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Notre avis sur LUCHADORES FIVE #3 – Les créatures du lac de cuir noir
Jerry Frissen a été bien inspiré le jour où il a crée Lucha Libre et les Luchadores Five. Cette série permet de rendre hommage aux films des années 50, aux séries B (voire Z), aux westerns et aux catcheurs mexicains.
Dans les créatures du lac de cuir noir, nous retrouvons donc nos compères dans leur quête pour retrouver Diablo Loco.
Jerry frissen imagine encore une fois une excellente intrigue où l’humour rime avec l’action et le suspense. Le lecteur est entraîné de surprises en surprises avec ce récit. En tout cas, pour ma part, je m’amuse beaucoup avec cette série. Je n’arrête pas de lire et relire ces tomes.
J’adore le gang des vieux : the Wild Bunch composé entre autres de Dutch, Tector et Pike : en référence au film de Sam Peckinpah (La horde sauvage). Frissen fait aussi un clin d’oeil au film Winchester 73 ou encore à L’épreuve de force. Bah, de toute façon, des réferences, cela n’en manque pas dans ces pages.
J’aime bien aussi comment Bill floute les visages démasqués des Luchadores. Comme quoi, leur vrai visage, c’est leur masque.
En tout cas, la fin est réussie et vous pourrez prendre una cerveza avec nos cinq luchadores.
Le dessin de Bill peut vous faire penser à du manga par moment, mais c’est un mélange subtil entre franco-belge, comics et manga. Son style est quand même d’une excellente facture. Il y a du rythme dans son trait et du bon, en plus !
Venez donc participer au côté des Luchadores Five à la baston contre le gang des créatures du lac de cuir noir. Ca vaut le coup et cela vous détendra, vous verrez.
Par BERTHOLD, le 26 mars 2010
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