LUCY
trafiquants d'espérance

Nous sommes en Californie, en 1851, en pleine fièvre de l’or.
Alex Harrison est en train de mourir dans les bras de son ami d’enfance, Clyde Morgan.
La folle recherche du filon a tuée à petits feux Alex. Et Clyde emprunte le même chemin.
Seul lien avec la réalité, les lettres de Lucy lui apporte un peu de lumière. Mais ces lettres sont adressées à Alex : de quoi se faire passer pour lui…

Par Gdseb, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur LUCY #1 – trafiquants d’espérance

Males et Thirault collabore déjà sur la série mille visages. Lucy est également un western, mais ici pas de fantastique.
Le scénario de Thirault nous fait plonger dans les monde dur, violent et fou des chercheurs d’or. Beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. Du coup, la violence est omniprésente. Pas une violence physique (même si elle existe), mais surtout une violence morale, qui mène à la folie ceux qui ne sont pas assez forts.
Le mode de narration utilise beaucoup le flash back, de façon plutôt heureuse.
Les couleurs rendent une ambiance opressante. Les visages, à la limite de la caricature expriment la souffrances de ces hommes.
Un très bon western, loin des cow boys et de leurs duels. Plus proche d’une peinture sociale.

Par Gdseb, le 30 août 2004

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