MAUVAIS MONSTRE
Tome 1

 Eloïse vit dans un monde où chaque être humain obtient au moment de sa puberté, un petit monstre qui l’accompagnera tout au long de sa vie. La plupart de ses camarades de classe ont déjà leur monstre. Mais pas Eloïse.

Jusqu’au jour, où … son monstre éclot. Mais ce n’est pas du tout le monstre dont Eloïse rêvait. D’autant que dans sa classe, il y a Célie, la fille la plus populaire du collège qui a le monstre le plus mignon, adorable, craquant de tout le collège.

Et le monstre d’Eloïse n’est pas ce qu’on l’on pourrait qualifié de mignon. En plus, il semblerait qu’il ait des pouvoirs. Maléfiques ou pas ? Toujours est-il qu’Eloïse refuse catégoriquement de lui donné un nom, comme il se doit. Elle le nomme donc « Machin ».

Déjà à l’écart de ses camarades, Eloïse se retrouve encore davantage isolée, car elle garde l’arrivée de son monstre aux pouvoirs potentiellement « dangereux », secrète.

Est-ce qu’Eloïse profitera des pouvoirs de son « mauvais » monstre à bon escient ? Combien de temps réussira t-elle à conserver l’arrivée de « machin » cachée ?

Par Céline 1, le 5 janvier 2023

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Notre avis sur MAUVAIS MONSTRE #1 – Tome 1

 Enzo BERKATI, un jeune auteur au talent indéniable, a écrit et dessiné une histoire accessible à tous et tout à fait dans l’ère du temps.

Son dessin, notamment les diverses expressions du visage d’Eloïse, le personnage central, avec ses moues boudeuses typiques de l’adolescence la rend extrêmement attachante.
Les couleurs punchy de la coloriste Lisa GUISQUIER ne font qu’ajouter du dynamisme au ton très enlevé de cette BD.

En bref, ce récit racontant d’une manière très originale, avec un ton très juste, la vie quotidienne des adolescents d’aujourd’hui, nous invite à nous questionner sur la relation aux autres, sur le regard que chacun de ces ados porte sur ses camarades, sur l’image que chacun renvoie aux autres. Sa façon bien à lui, et pleine d’humour, d’aborder ce sujet sociétal et essentiel peut permettre à de nombreux ados de s’identifier à Eloïse et ses camarades et de prendre conscience des enjeux et des conséquences.

Par Céline 1, le 5 janvier 2023

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