MAX & NINA
Y a de l'amour !

Dragueur impénitent, Max vit un quotidien sans grande envergure qu’il partage de temps à autre avec son copain Bob. Jusqu’au jour où, lors d’une soirée arrosée, il croise le chemin de Nina. C’est le coup de foudre. Malheureusement, la jeune fille a un copain, Fred, qui n’est pas enclin à laisser partir sa dulcinée. Max s’en balance un petit peu et se décide à la conquérir. Des vacances aux sports d’hiver vont lui donner l’occasion de se rapprocher de Nina. Evidemment, si le courant semble passer entre les deux tourtereaux qui jouent la carte du rapprochement, la séparation avec Fred n’est pas prête à se dérouler sans douleur. Aaaaah, l’amour, quand tu nous tiens !

Par phibes, le 15 janvier 2018

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Notre avis sur MAX & NINA #1 – Y a de l’amour !

Après les Closh, Gomina, Suivez le bébé…, Dodo et Ben Radis remettent les couverts pour nous conter une nouvelle histoire, celle de Max et Nina, deux personnages promis à se rencontrer et à découvrir les joies et les peines de la vie de couple.

Dans un humour un tantinet caustique et une évocation très contemporaine, l’univers des deux protagonistes s’ouvre à nous. Force est de constater que Dodo a choisi de révéler le relationnel avec des hauts et des bas de Max et Nina selon un concept nature, réellement rafraîchissant et proche d’une certaine véracité. De fait, on se plait à suivre leur rapprochement sentimental, leurs déboires quotidiens, à la faveur d’un jeu de dialogues fourni et d’une kyrielle de situations à gag qui produisent assurément leur effet.

Graphiquement, Ben Radis joue à fond la carte animalière dont il a la maîtrise. Très inspiré par l’univers de Disney, l’artiste anime ses personnages avec force, dans un jeu d’expressions et d’attitudes visiblement éprouvées qui les rendent à la fois attachants et bien comiques quand il le faut. On saluera également sa très belle performance dans le travail des décors qui bénéficient d’une bien belle recherche détaillée.

Une rencontre amoureuse bien sympathique qui est appelée à faire des « petits » !

Par Phibes, le 15 janvier 2018

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