MELUSINE
Malediction !
C’est difficile d’être l’ami de Cancrelune. Cette dernière n’a pas compris ce qu’est une malédiction et à force, finalement, elle porte la poisse. Mélusine va en faire les frais. Du coup, c’est elle qui va être maudite !!!
Bonjour les gadins sur le balai, bonjour les aplatissages contre le mur du château, bonjour pour se faire un café sans que rien n’explose.
Il va falloir trouver la potion miracle pour s’en sortir.
Par berthold, le 10 mai 2010
Notre avis sur MELUSINE #18 – Malediction !
Sacré Cancrelune ! Elle n’en rate pas une pour bien faire rire le lecteur. Elle inspire bien son scénariste celle-là.
Encore une fois, je me suis bien fait plaisir en lisant ce nouveau tome de Mélusine. J’y ai même bien ri.
Quelle bonne idée déjà, de mettre en selle, pardon, en scène Jerohne Kopf, le cavalier sans tête. Souvenez vous de l’adaptation de l’oeuvre de Washington Irving par Tim Burton, avec le film Sleepy Hollow. Rappelez vous le personnage interprété par Christopher Walken. Bon, c’est vrai qu’ici, il est moins effrayant. Et un peu plus marrant aussi. Ah, ce moment grandiose où la tête n’entend pas ce que dit Melusine car elle a ses mains sur les oreilles ou encore lorsqu’elle est tenue par les cheveux ! De grands moments comiques dignes d’un Mel Brooks ou des Monty Pythons.
Gilson joue aussi sur le comique de situation lorsque Cancrelune est prise par la malédiction. Les scènes avec le livre au début sont vraiment drôles. Et puis, quand Mélusine et Cancrelune échangent leur rôle, là, c’est c’est à se tordre de rire.
Ce que je trouve très bon dans le dessin de Clarke, ces sont les expressions. Certaines, par moments, n’ont besoin de rien de plus pour nous faire rire. Outre l’hommage aux créatures fantastiques, vous verrez aussi un clin d’œil à une certaine série gauloise.
Les auteurs ne connaissent pas encore la malédiction de la page blanche ou du gag qui rate son coup avec Mélusine. Heureusement pour nous, lecteurs, qui avont encore de bons moments de lectures avec cette jeune sorcière !
Par BERTHOLD, le 10 mai 2010
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