MERLIN, LA QUETE DE L'EPEE
La forteresse de Kunjir
Les Tuatha sont en guerre contre les Formorii qui sont aux portes de la citadelle des premiers. Toute la contrée baigne donc dans l’insécurité, et c’est justement cette zone que doivent traverser Merlin, toujours en quête du métal indestructible qui permettra de forger l’épée du roi, et ses compagnons Ana, Ethé ainsi que l’elfe Lyadriel. Une insécurité que nulle certitude ne pourrait venir balayer : les elfes ont un infiltré dans les rangs des Tuatha. La forteresse tuatha est en passe de tomber aux mains des Formorii…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782849464991
Notre avis sur MERLIN, LA QUETE DE L’EPEE #2 – La forteresse de Kunjir
Indigestion ? En tout cas, la multitude des titres et des séries ayant pour thèmes les mythologies et les légendes bretonnes et celtes fait que l’éventail de choix est très large… Ne serait-ce que dans la collection Soleil Celtic, entièrement dédiée à ces univers ! Alors quand le choix devient trop large, peut-être ne s’attarde-t-on plus que sur la série ou le one-shot qui nous appelle le plus ?
Après les adaptations d’Anatole Le Braz, mais aussi le tome 3 de la série Les druides et le tome 2 de la série Le Crépuscule des Dieux, c’est en ce mois d’octobre 2007 le tome 2 de la série Merlin, la quête de l’épée qui sort… Et qui n’arrive pas à rivaliser forcément avec les autres. Au niveau de la narration, on y retrouve un peu le problème de la quantité de noms de personnages et de lieux. On suffoque peut-être aussi un peu sous le nombre de créatures auxquelles cette "variation sur une légende" fait appel… Et au niveau du dessin, on voit succéder à de superbes planches (voir l’extrait) des planches beaucoup plus fades. Le problème étant que ces dernières sont bien plus nombreuses que les autres.
Alors est-ce la comparaison avec les autres titres qui fait qu’on n’accroche pas des masses ou bien est-ce que vraiment ce tome est de qualité médiocre ? Même le visuel de couverture n’est pas une réussite ! Ces épaulières énormes, ces improbables (et sûrement très peu pratiques !) protèges-phalanges ou encore ce nez qui est colorisé comme s’il était écrasé sur une vitre… En tout cas, ceux qui ne sont pas à-fond-dedans risquent de trouver cette lecture bien peu digeste. Dommage. La question est peut-être : une série dont le premier cycle a plu oblige-t-elle des auteurs à la faire survivre ?
A méditer. Après avoir lu ce tome pour se faire son opinion.
Par Sylvestre, le 26 décembre 2007
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