NES POUR COGNER
Kakeru
Désormais fort de l’enseignement de Toraïchi, Takeshi Yamato a gagné en assurance et est venu rendre la monnaie de leur pièce à ces prétendants au titre de Masuraou qui agissent envers les commerçants comme s’ils avaient déjà gagné et que tout leur était dû.
Le tournoi va commencer. La première épreuve est appelée Battle Royale. Il s’agit d’un véritable pugilat rassemblant des dizaines de concurrents, pour écrémer l’effectif des prétendants au titre. Les adversaires sont tous aussi impressionnants ou imprévisibles les uns que les autres. Des brutes, des costauds, des fous, des pervers…
Et tous ne portent que le fameux fundoshi (que Takeshi aura eu tant de mal à se procurer), cette culotte qui, si elle est enlevée par un autre dans cette première phase, vous élimine du tournoi…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782756014074
Notre avis sur NES POUR COGNER #3 – Kakeru
La virilité des garçons apparaît comme très importante dans les mangas racontant des histoires de combat. On l’a vu par exemple dans la série Ippo relative à la boxe (aux éditions Kurokawa) tout comme on le voit depuis le tome 1 de cette série Nés pour cogner.
Si c’est souvent plutôt pour intégrer un élément humoristique dans le récit, on s’aperçoit dans le cas de Nés pour cogner qu’après avoir été ce genre de détail « pour déconner », voire qui classait comme peu sérieuse la série, c’est devenu une manière de présenter le fundoshi de façon très didactique (ce que c’est que le fundoshi, comment il se porte..) et tout cela en préambule à la première phase de tournoi pendant laquelle le fundoshi a justement une importance capitale !
Ces observations, sans qu’elles soient là pour dire que Nés pour cogner est la série du siècle, vont en tout cas dans le bon sens, confirmant ce que je dis de cette série depuis le tome 1 : que derrière un thème qui n’est pas pour s’assurer que des fans se trouve tout de même une série qui sait accrocher et se laisser découvrir.
Par Sylvestre, le 1 juillet 2008