NEURO
Les bombes canines
L’insaisissable Histerrier répand la terreur en ville avec les bombes qu’il pose. C’est la panique ! Heureusement, Neuro a trouvé des indices lui permettant de savoir où la prochaine sera placée.
Il va alors une fois de plus avertir la police du résultat de ses réflexions. Usui, agacé de devoir à nouveau ne pas écarter la piste proposée par Neuro et Yako qu’il considère comme des gêneurs dans ses enquêtes va s’en prendre de plus en plus à son subordonné Sasakawa en déversant sur lui sa rage de ne pas être aussi perspicace que Neuro et Yako qui s’avèrent avoir toujours raison !
La fin de l’enquête Histerrier aura des allures de course contre la montre. Car ce n’est pas une mais deux bombes qui ont été placées sur le nouveau site piégé ! Un bon coup de stress, donc !
Une fois l’affaire Histerrier classée, Neuro et Yako vont profiter d’une invitation à se rendre dans une auberge où ils vont faire la connaissance de personnages singuliers, et notamment d’un Américain…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782723460569
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Notre avis sur NEURO #4 – Les bombes canines
La série Neuro a semble-t-il déjà trouvé son rythme de croisière, et c’est peut-être cela qui est dommage. Car même si l’on sait que le mangaka mise sur des idées toujours nouvelles pour ses épisodes, on trouvera peut-être qu’il n’y a pas vraiment de super originalité d’un tome à l’autre. Ce volume 4 est en effet classiquement divisé en deux parties (la première nous révélant la fin de l’enquête précédente et la seconde en ouvrant une autre) et on se résigne presque à imaginer que la suite suivra inlassablement cette logique établie. Cela ne veut heureusement pas dire que l’on s’ennuie lors de la lecture, ni qu’elle n’est pas bonne ou agréable, mais disons qu’on peut avoir une impression de déjà-vu. Cette impression étant doublée par le fait que le dessin lui non plus n’est pas à tomber par terre, on n’aura pas forcément le réflexe de conseiller cette série plus qu’une autre qu’on aura jugée comparable…
Par Sylvestre, le 23 février 2009