NIKLOS KODA
Hali Mirvic

Niklos Koda a été assassiné à Prague, manque de chance pour Hali Mirvic, trafiquant d’armes qui devait le tuer lui-même après avoir récupéré la moitié du code secret, sésame donnant droit à l’argent caché.
A partir de là, Valentina va tout faire pour venger l’homme qu’elle aime qui plus est le père de sa fille Séleni.
Les accords et les trahisons vont bon train et bizarrement, Koda, même mort semble présent !
Valentina, en vaillant soldat, continue sa route mais elle s’interroge sur cette sensation étrange… !

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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2 avis sur NIKLOS KODA #5 – Hali Mirvic

Dufaux est vraiment un maître dans l’art de brouiller les pistes. Pour la conclusion de son diptyque, il nous réserve de savants numéros de haute voltige pour faire avancer son intrigue. Je me suis fait mener par le bout du nez de bout en bout. Les talents de magicien de Niklos (mais non pas le gars de la Starac!!) sont mis à contribution, et je dois avouer que j’ai été bluffé de long en large.

Comme je le disais déjà pour le tome 4, cette aventure marque un tournant certain pour la suite de la série : Niklos et Valentina Souleva vont-ils se retrouver? Comment va évoluer leur relation? On apprend aussi que Mirivc n’est pas un inconnu pour Koda, et on saura aussi pourquoi il déteste autant les armes à feu.Une petite faille dans la cuirasse de notre chevalier moderne, au coeur si insondable qu’il en paraîtrait presque froid.
 
Une fois de plus, on se laisse donc prendre au scénario de Dufaux et ce cinquième tome de notre espion-diplomate préféré se lit avec un enthousiasme débordant et communicatif.

Par PATATRAK, le 15 septembre 2005

Ce tome 5 de Niklos Koda est un peu décevant en ce qui concerne la trame de l’histoire. L’ambiance fantastique disparaît totalement au profit de courses-poursuites dignes d’un film d’action tel que « Taxi » de Besson par exemple.
Cet album montre les multiples retournements de situations, les échanges de costumes , les amitiés et les trahisons.

Comme, en plus de ça, les femmes sont « sans cervelle » comme le fait dire Dufaux à un de ses personnages et que le ton misogyne ne s’arrête pas là, je vais tout naturellement l’habiller pour l’hiver ! (sans rancune 😉 )

En ce qui concerne le dessin, il faut reconnaître à Olivier Grenson un talent qui va du précis au très réaliste avec des couleurs somptueuses. Le tout dans des décors magiques… les personnages font rêver comme un défilé de mannequins, les visages sont beaux, les corps parfaits, les esthètes vont se régaler…

Allez, lisez cet album pour la détente, le rythme est rapide, on plonge assez vite finalement…. Sans que ce soit une bande dessinée indispensable, elle est vraiment très agréable (Malgré l’erreur de jugement porté sur les femmes… allez messieurs les auteurs, un peu d’humour 😉 !

Par MARIE, le 3 décembre 2003

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