OLYMPUS MONS
Anomalie Un
2026. L’Oceans Pathfinder se trouve dans la Mer de Barents, au nord de la Russie Occidentale. Les radars du bord ont reperé quelque chose dans les profondeurs de la mer. En fait, ce serait trois anomalies que les marins ont relevé. Puis, quelques soucis techniques touchent le matériel de bord. Dan Hennings veut en savoir plus.
Au même moment, dans l’Iowa, un médium a une étrange vision de quelque chose qui se situe aussi sous la mer.
Sur Mars, une mission russe a devancé les américains. Ils vont être les premiers à poser le pied sur le sol martien. En fait, c’est une femme qui va réaliser cet exploit : le commandant Elena Chevtchenko. Mais, celle-ci et ses deux compagnons de vol, savent que c’est un voyage sans retour. Ils vont explorer le coin où ils se sont posés : là où se situe l’Olympus Mons.
Chacun de leur côté, font d’incroyables découvertes, étrangement liées entre elles…
Par berthold, le 15 février 2017
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782302057838
Publicité
Notre avis sur OLYMPUS MONS #1 – Anomalie Un
Après Prométhée, Bec & Raffaele refont à nouveau équipe.
La couverture de cet album est très intriguante. Pierre Loyver nous donne envie de voir à l’intérieur et de découvrir ce que cache ce titre et ce que represente cette immense batiment, avec ces trois minuscules silouhettes, dans une sorte de brume, sur fond orangé et mystérieux.
Déjà, le nom est bien trouvé, il intrigue.
Olympus Mons, comme vous le verrez dans le récit, se situe sur Mars. Une planète où les russes (dans l’histoire) sont les premiers à poser le pied.
Mais Christophe Bec, outre cette mission sur laplanète rouge, nous raconte les tentatives de l’équipage de l’Oceans Pathfinder pour découvrir ce qui se cache sous la Mer de Barents ou encore de ces hommes qui veulent voir le Mont Ararat, en Turquie, où se serait trouvée l’Arche de Noé. Une photographie, datant de 1953, montre qu’il y avait quelque chose, une masse sombre. Le scénariste nous montre l’obsession du médium, Aaron Goodwin, pour ses visions sur ce qui se cache sous la mer. Puis, nous découvrons que la mission de Dan Hennings semble intéresser les services secrets de quelques grandes puissances.
Et pour l’instant, on en apprend beaucoup sans trop savoir où tout cela va nous méner.
Bec a le talent de nous proposer des histoires fantastiques, de science-fiction où le mystère reste entier, où il nous captive jusqu’à ce qu’on ne puisse plus lacher l’album jusqu’à la fin. D’ailleurs, le deuxième tome semble programmé pour 2017…
Où Steffano Raffaele trouve t’il le temps de travailler comme cela ? Il est sur Prométhée et là, il arrive à produire une nouveauté toujours de grande qualité, à un rythme assez soutenu ! Cet artiste est doué ! Avec Olympus Mons, il nous en met plein la vue en nous plongeant dans des scènes qui donnent le frisson.
Soulignons aussi l’excellent travail de Digikore studios aux couleurs qui contribue à la réussite de ce premier tome.
Olympus Mons semble un peu moins bavard que Prométhée. En attendant, ce premier tome captive et donne envie de lire la suite.
Un premier tome recommandé !
Par BERTHOLD, le 15 février 2017
Publicité