ONE PIECE
Perpétuation
Parce que le Vogue-Merry battait pavillon pirate, son équipage a tout d’abord été très mal accueilli par les habitants de l’île de Drum. Mais lorsque ces derniers ont compris que nos héros ne souhaitaient que de l’aide afin que Nami soit soignée, Luffy et ses compagnons d’aventure ont pu mettre pied à terre. Ou plutôt… à neige !!! Car le climat dans cet archipel hivernal était fort rude, ce qui n’allait pas dans le bon sens pour la santé de la pauvre Nami… Cependant, malgré le froid mortel et une faune locale impitoyable malgré les apparences, Nami parviendra à être conduite auprès de la seule "doctorine" du coin. C’était le Dr. Kureha, une vieille sorcière âgée de près de 140 ans et dont l’assistant, Chopper, n’est autre qu’un rêne ayant avalé un fruit du démon et ayant suite à cela acquis de pouvoir converser avec les humains ! En bref, malgré les difficultés, tout se présentait bien pour nos héros, jusqu’à ce que Wapol, l’ancien maître des lieux récemment croisé, revienne à Drum et pique une colère noire en découvrant que pendant son absence, le Dr. Kureha s’était approprié son château !!!
Par sylvestre, le 17 décembre 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2723442403
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Notre avis sur ONE PIECE #16 – Perpétuation
On a déjà évoqué la multitude, sinon l’infinité, de possibilités dont dispose le mangaka Eiichiro Oda pour faire durer son manga encore et encore. Ce tome 16 ne déroge pas à la règle et, une fois de plus, on en a la démonstration… Grâce à l’apparition de nouveaux personnages ahurissants dont Chopper manifestement appelé à faire de vieux os auprès de notre équipe de héros et grâce au déroulement de scènes ubuesques, mais aussi grâce à la manière que l’auteur a de raconter son récit, ne s’interdisant pas de très longues parenthèses (ici, en l’occurrence, un long flashback) qui reviennent sur le passé de certains protagonistes et solidifient ainsi et le propos et l’univers de One Piece tout entier. Plus qu’en faire une simple histoire qui se déroule linéairement, ce genre de crochets temporels assure en effet de la profondeur au récit (qui à première vue, selon ses détracteurs, n’en aurait pas une once) et promet en outre à l’occasion des réapparitions qui feront, n’en doutons pas, leur petit effet !
Par Sylvestre, le 17 décembre 2013
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