OSCAR
La belle amoureuse
La belle amoureuse :
Le tableau intitulé « La belle amoureuse » a été volé et Khartoum, qui a été formellement reconnu par des gens qui cependant n’en sont pas très sûrs, est arrêté et jeté en prison. Sûr de l’innocence de son ami, Oscar va mener son enquête et faire éclater la vérité au grand jour.
Le prince de Tilfit :
Khartoum a demandé un service à Oscar, mais celui-ci n’a pas voulu obtempérer, accusant son ami de s’appuyer sur lui pour arriver à ses fins. Ce qui lui a rappelé l’histoire du prince de Tilfit…
Mon oncle Gaspard :
Oscar n’aime pas que les gens découvrent qu’il ne sait pas faire de vélo. Alors lorsque quelqu’un lui propose d’en faire (et diable, pourquoi donc tout le monde s’y met, en ce moment ?!?) il ne lui reste que son bagou pour s’inventer des prétextes !
Les ratracks :
Une statue érigée dans le quartier d’Oscar vient d’être déboulonnée, ce qui a mis le garçon hors de lui. Alors il est allé voir les hommes du chantier et leur a expliqué pourquoi ils ne pouvaient décemment pas priver les habitants de l’effigie de celui qui avait sauvé le quartier des terribles ratracks…
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782800141435
Notre avis sur OSCAR #7 – La belle amoureuse
Pour la première fois dans cette série Oscar, un tome propose différentes petites histoires plutôt qu’une grande. La première, celle qui donne son nom à l’album, est pourtant bien dans la lignée de ce à quoi on avait été habitués jusque là : on y retrouve Oscar et Khartoum, bien entendu, mais également ce qui fait que cette série est vraiment différentes d’autres adressées au même public, à savoir des observations et des critiques sur notre société.
Cette fois, c’est la justice qui en prend pour son grade, et c’est sur le « délit de faciès » que se lance le scénario : Khartoum est d’origine étrangère et sans papiers, ce qui fait de lui le coupable idéal aux yeux des « gens bien intentionnés » (comme le chantait Georges…)
Les trois autres historiettes sont toutes aussi bonnes et elles nous offrent le plaisir de voir Oscar s’adonner à l’un de ses sports favoris : le baratin !!! Qu’il s’agisse d’échapper à une corvée, de masquer une honte éprouvée ou plus généralement d’arriver à ses fins, le gamin des rues à la bouille toute ronde et à la casquette rouge a du bagou à revendre et nous en fait la démonstration !!!
Un tome de plus pour jeunes lecteurs citoyens, dans la tradition de qualité de cette série BD signée Christian Durieux au dessin, Denis Lapière au scénario et Marmelade aux couleurs. Et c’est aux éditions Dupuis !
Par Sylvestre, le 23 octobre 2008
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