PHENOMENUM
Opus 0

Durant son adolescence, et parce qu’il est très violemment menacé,
Yann
se rend compte qu’il a le pouvoir d’arrêter le temps. A cet instant précis
où la terreur s’empare de lui, un phénomène extraordinaire se produit. Il
arrête le temps et sauve ainsi sa vie. Depuis il utilise ce pouvoir qu’il
apprend à gérer, mais commet de multiples larcins et devient un escroc que
la police se met à rechercher. Sa vie n’est plus qu’une course poursuite
dans laquelle vient se greffer une jolie jeune femme : Emma.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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2 avis sur PHENOMENUM #1 – Opus 0

Nominé pour le prix du meilleur 1er album à Angoulême 2003, Opus 0 est un album que je ne peux que vivement vous recommander : ses atouts sont nombreux.
Le scénario est vraiment original, et superbement traité : à aucun moment on ne plonge dans le facile, le commun, le hors de propos.
Le procédé utilisé de la voix off n’est absolument pas pesant, et permet surtout de comprendre et d’aimer ce personnage : un être humain, avec ses forces, ses faiblesses, ses doutes, ses erreurs, qui doit faire des choix pour maîtriser son destin.
C’est aussi une belle histoire d’amour, avec une fin qui fait qu’on attend avec impatience la suite.
Quant aux dessins et au découpage, ce sont vraiment les points forts de cette BD : la mise en page des planches est excellente, les recherches de couleurs collent parfaitement à la narration.
Et surtout, cette BD est très dynamique. Du mouvement, toujours. Certaines vignettes m’ont même fait penser à des scènes de Matrix.
Le style de dessin fait un peu penser à du manga. Ce qui fait qu’on est absolument pas surpris par l’aspect fantastique, et l’histoire d’un homme capable d’arrêter le temps en devient presque crédible.
Bref, une BD vraiment très originale, où on ne s’ennuie pas une minute.

Par Gdseb, le 1 avril 2003

Cette bd, premier album pour les deux auteurs est un coup de
maître. Le dessin colle magnifiquement bien, les personnages sont envoûtants,
l’intrigue est très réussie. Le découpage est presque cinématographique,
surtout pour le « passage », (de la page 11 à 12)le moment où le héros prend
conscience de son pouvoir.
Précipitez vous !

Par MARIE, le 13 octobre 2002

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