RIC HOCHET
La dernière impératrice

La firme Agnellys se prépare à lancer sur le marché son nouveau modèle de voiture : l’Agnelux 5. Lors des essais effectués par Marco, le fils de la toute puissante présidente, et Ornella, son amie, sont enlevés.
Une rançon est enfin exigée plus d’un mois et demi après le rapt.
Ric Hochet et son père Richard sont missionnés par "l’impératrice"  pour intervenir dans la transaction. Mais cette dernière ne se déroule pas comme prévu et Marco est retrouvé peu de temps après inanimé sur une plage.
Dès son retour dans l’empire Agnellys, l’étrange comportement de Marco intrigue son entourage.
Que lui est-il arrivé pendant sa détention ?

Par phibes, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur RIC HOCHET #71 – La dernière impératrice

Et un de plus !
Un album chaque six mois ; je pense que ce doit être un record de production que souhaitent obtenir la maison d’édition « Le Lombard » et les auteurs concernant la série « Ric Hochet ».
Tel notre héros et la famille Agnellys, André-Paul Duchateau manipule adroitement le lecteur au gré de cet épisode de façon à le diriger sur de nombreuses pistes et à l’amener à suspecter tous les protagonistes.
Heureusement, Ric Hochet, grâce à ses facultés de déduction, nous évite, dans un ouf de soulagement, de nous triturer les méninges pour lever le voile du mystère.
Pour la présente, « la dernière impératrice », illustrée par l’un des maîtres de la ligne claire, Tibet, n’est pas la révélation de cette grande série.
L’exaltation que l’on peut trouver dans d’autres tomes semble faire défaut ici. L’intrigue basée sur l’auto persuasion n’est pas arriver, malgré ses quelques rebondissements, à me captiver pleinement.
Les agissements décousus et extrêmes de la présidente sont quelque peu désorientants.
Hormis ceci, Tibet manie avec brio le crayon et produit des dessins de qualité qui se veulent toujours plus réalistes. Les voitures, pour ne citer que ça, sont des plus réussies.
On ajoutera, pour la circonstance, que le dessinateur est associé à Franck Brichau qui peaufine les décors.

Par Phibes, le 2 avril 2007

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