SAKAMOTO DAYS
La brochette

Maintenant que Kanaguri (qui travaille pour l’Ordre) et Club Jam (qui travaille pour Slur) se sont introduits dans la JCC pour neutraliser Sakamoto et sa bande et pour mettre la main sur le concierge qui a mémorisé entièrement la base de donnée, c’est le temps des affrontements en masse. Les couloirs de l’Université deviennent un vrai champs de bataille.

Par fredgri, le 4 février 2024

Publicité

Notre avis sur SAKAMOTO DAYS #11 – La brochette

Depuis le premier volume, on sait à quoi s’attendre avec cette série principalement tournée vers d’interminables affrontements ou chaque adversaire est plus puissant que le précédent, réalisant des exploits absolument incroyables.
Bien sur, l’auteur sait aussi doser ses éléments, brodant en arrière fond une vague trame à base de complots, d’une hypothétique base de données qui pourrait permettre d’identifier l’ennemi qui manipule tout ça, dans l’ombre. Mais l’essence de Sakamoto Days reste cette énergie qui déborde de chaque volume, voyant les « gentils » se battre contre les gros « méchants » bien cruels et ultra violents.

Chaque nouvelle étape est donc une démonstration de cette montée en puissance exacerbée par la force que dégagent ces tueurs qui font des bons de plusieurs mètres, qui peuvent défoncer des murs, voir même des étages entiers d’un simple mouvement de main, sans oublier leur rapidité surnaturelle, il leur manquerait juste les rayons des yeux, et on se croirait dans un comics…

Cette exagération c’est tout l’intérêt de cette série, même si on se dit qu’au final, elle ne se démarque pas vraiment de toutes les autres du même genre, suivant le même schéma narratif, une montée en tension et un prétexte, dans chaque volume, pour que les uns et les autres se fritent sans se poser de question sur tout ce qui les entoure.
Et je dois bien dire que ça fonctionne plutôt bien dans l’ensemble, c’est efficacement mené, les combats sont impressionnants et particulièrement bien mis en scène. Du très bon boulot.

Peut-être qu’on finit par oublier de quoi ça parle, au fil des planches, mais qu’importe, on en a plein les yeux…

Pour amateur de Shonen pleins d’action.

Par FredGri, le 4 février 2024

Publicité