SCEAU DE L'ANGE (LE)
Cycle 1, tome 2

Valentin Petibon continue de profiter avec sa nouvelle amie Lune, de la générosité d’Ykos. Il pose de nombreuses questions sur l’insolente chance de ce dernier. Mais l’interrogatoire tourne court avec l’arrivée d’un hélicoptère de combat.
La maison est pulvérisée, et le occupants de l’hélicoptères doivent se poser pour trouver si il y a des survivants. Mais ce sera leur dernière opération car ils sont éliminés les uns après les autres par Ykos.
Valentin ira de surprise en surprise en découvrant peu après son commanditaire, l’étrange et énigmatique Némo qui vit dans une combinaison le protégeant de la lumière du fait des brûlures recouvrant sa peau. Petibon découvre que sa mission n’est pas finie, mais qu’il devra poursuivre de nouveau l’étrange être qu’est Ykos. Némo évoque une histoire d’anges et démons qui laisse Valentin perplexe…

Par eric, le 1 janvier 2001

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Scénariste :

Patrick COTHIAS
dessinateur :

André LE BRAS
Éditeur :

BAMBOO
Genre s :

Action

Fantastique
Sortie :

janvier 2007
ISBN :

9782350781211

Notre avis sur SCEAU DE L’ANGE (LE) #2 – Cycle 1, tome 2

La collection Grand angle a pour slogan, la bédé comme au cinéma. Malheureusement, comme il existe des nanars au grand écran, il en existe aussi en bande dessinée. Et le sceau de l’ange ne déroge pas à cette règle.
Le permier tome laissait penser que l’histoire amenait des développements intéressants, mais le second tome finit de m’achever en partant dans des élucubrations plus étonnantes les unes que les autres. Cette histoire de démons menaçant le monde et travaillant dans l’ombre des humains avait été bien mieux traitées et laissait planer un réel suspense dans une série comme le chant des Stryges par exemple. Ici, même les dialogues sont ennuyants avec des répliques parfois riducules.
Pourtant, le sceau de l’ange pouvait prétendre à mieux car le dessin lui ne souffre pas de défauts, il est simple et son trait réaliste est vraiment séduisant.
Ainsi, ce second tome se montre assez irrégulier voire décevant avec son abondance de "deus ex machina".

Par Eric, le 25 mars 2007