SUBARU
Danse vers les étoiles

La Sisteron Ballet Company dans laquelle Subaru a, aux yeux de tous, trouvé sa place, donne une représentation de Don Quichotte dans un pénitencier, devant un parterre de spectateurs a priori pas conquis d’avance…

Le corps de ballet parviendra-t-il à émouvoir les prisonniers ? Ceux-ci réussiront-ils à apprécier la danse au-delà du simple spectacle des corps ?

Subaru va donner tout ce qu’elle a ; et obtenir des retours aussi divers qu’imprévisibles. Un article de presse paraissant le lendemain intriguera une autre star en chaussons : Priscilla Roberts.

 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur SUBARU #7 – Danse vers les étoiles

Comme beaucoup de mangas, ce tome 7 étire le temps : certains passages qui pourraient être racontés en peu de cases sont lentement disséqués, distendus, comme pour permettre à l’auteur de dévoiler toute sa réflexion et celle de ses personnages pendant une action finalement rapide… et qui ne laisserait logiquement pas le temps de penser tout ça !

Ce type de rythme narratif est typiquement manga, et on peut lui trouver des faiblesses : ainsi, si l’on avait à reprocher quelque chose à ce tome 7, ce serait qu’on a alors l’impression de revoir toujours les mêmes dessins tout au long des dizaines et des dizaines de pages ! Subaru danse, Subaru pense, le public regarde. Subaru danse, Subaru pense, le public regarde. Etc… Séquence réitérée de multiples fois. Heureusement que le dessin n’est pas des moins bons !

Après, la principale chose à relever dans ce volume est ce jeu des contraires que le mangaka illustre entre la liberté dont jouit Subaru quand elle danse et la captivité de ses spectateurs. On aura vu cette opposition arriver de loin, mais elle est toute indiquée dans ce cas-là !

Poursuivez la belle aventure de la petite danseuse japonaise vers le chemin de la renommée. Lisez Subaru !

 

Par Sylvestre, le 11 mars 2007

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