TANGO
Le Fleuve aux Trois frontières - édition noir et blanc

Cette Triple Frontière, c’est celle entre l’Argentine, le Paraguay et le Brésil.
Dans ce coin là, se trouvent les chutes d’iguazu.  Et cet endroit n’est pas vraiment un paradis. Il s’y trouve des trafiquants, des tueurs et autres malfrats en tous genres.

Mario appelle Tango. Leur ami Mike a besoin d’un coup de main. Mais ce dernier n’a pas dit la vérité au sujet des ennuis dans lesquelles il s’est mis.
Tango, dans cette affaire, va avoir une sacrée surprise. Et cette affaire va être, pour lui, le moment de régler quelques vieux comptes…

 

Par berthold, le 29 novembre 2021

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Notre avis sur TANGO #06 – Le Fleuve aux Trois frontières – édition noir et blanc

Depuis la sortie du premier tome de la série Tango, les amateurs ont pu aussi découvrir les versions en noir et blanc de ces bandes dessinées.
Une semaine avant la sortie du tome 6 en couleurs, est paru la version spéciale noir et blanc.

C’est une autre façon de lire ce récit d’actions et d’aventures.
Philippe Xavier a un style qui permet à ce noir et blanc à parvenir à se suffire à lui-même. Ses planches sont magnifiques justement. La lumière ressort des cases. Certes, ce noir et blanc apporte une autre sensibilité au récit.
Cela permet justement de bien profiter du talent de l’artiste. Nous pouvons admirer sa fluidité et son sens du rythme. Les scènes de bagarres prennent plus de puissances, je trouve.

Quand au scénario de Matz, il ne déçoit pas.
Ce tome 6 clôt parfaitement ce premier cycle des aventures de Tango.

C’est vrai que cette bande dessinée change un peu de ce que nous pouvons trouver dans le genre. Matz et Xavier ont su créer un personnage fort avec ce Tango.
Les intrigues ont su nous donner de bonnes sensations, parvenant à nous faire voyager à travers différents endroits.
Matz a su donner une nouvelle impulsion au polar avec ce côté "aventure" qui manquait un peu à la production actuelle.
Ce tome 6 vous réserve de bonnes surprises.

Le Fleuve aux Trois Frontières est une très bonne conclusion au premier cycle de Tango. Une oeuvre à lire sans modération.

 

Par BERTHOLD, le 29 novembre 2021

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