UCHRONIE[S]
EPILOGUE

 Charles Kosinski et Tia Brown désirent quitter New Harlem et rentrer chez eux, à New York, dans leur propre réalité. Seule la "fusion noire" leur permettrait de réaliser leur projet, mais selon toute vraisemblance cette technologie révolutionnaire, mise au point par Charles lui-même, n’existe pas dans ce monde. Une enquête approfondie leur révèle bientôt que des scientifiques sont en train de mener des recherches dans ce sens. Charles et Tia n’ont alors qu’une option : entrer en contact avec ceux qui dirigent ce laboratoire secret…On prend toute la mesure de la maestria de Corbeyran dans l’ultime épisode de cette grande saga d’anticipation : les univers interconnectés fusionnent et les destins des protagonistes prennent enfin tout leur sens. C’est Éric Chabbert, le dessinateur de New Byzance, qui mettra en image ce dernier volet avec le brio qu’on lui connaît.

Par PEK, le 1 mars 2011

Notre avis sur UCHRONIE[S] #EP – EPILOGUE

 Ca y est, nous y voilà, comme on le dit souvent "toute bonne chose a une fin" et bien la voici pour Uchronie[s] ! Vous qui avez suivi les 9 albums des 3 séries Uchronie[s] et les avez apprécié, vous qui n’attendiez qu’un ultime tome pour boucler la boucle et comprendre l’univers de Corbeyran vous voici au bout du chemin ! En ce qui concerne le scénario il n’y a, comme d’habitude, rien à redire ! Les personnages et protagonnistes principaux nous sont connus et nous ne souhaitons qu’une chose, découvrir de quelle manière Cobeyran va les mettre en mouvement et en relation entre eux. Ce tome marque, comme je le disais, la fin de la série … Et pourtant la dernière case de ce tome peut nous présager de nouveaux horizons mais je n’en dirais pas plus si ce n’est que quand on a le talent de Corbeyran on peut se permettre grâce à une simple case de fin d’album de relancer une série … 

Le dessin est donc l’oeuvre de Chabbert qui nous avait régalé sur la série New Byzance. Ligne claire, environnement glauque et traits fins, c’est un véritable plaisir que de suivre l’évolution des personnages grâce à lui. Malgré tout, quelques cases sont moins abouties que d’autres, le dessin semble moins fluide, plus flottant et l’aventure en perd en crédibilité, un peu comme si le temps avait manqué pour conclurehonorablement ces quelques bas de pages. Mais il ne faut pas faire de ce cas une généralité, dans sa globalité le dessin reste très bon et ce n’est que digressions de fan de rechercher dnas les moindres petits détails ce qui pèche. 

In fine, contrairement à ce qui a pu être écrit à différents endroits cette Bande-dessinée n’est pas reservée à l’élite mais à ceux qui ont eu le bonheur de lire les 9 premiers tomes. En effet, ne vous lançez pas dans sa lecture sans avoir préalablement compris l’univers uchronique en cause ca rvous n’y comprendriez rien et ne pourriez ous faire une juste opinion de sa qualité.

Par PEK, le 1 mars 2011

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