UNDER
White Ladies

Lorsqu’on l’on demanda à l’officier de la Sewer Police, Wilson Jéricho, de servir de guide à Sandra Yeatman, jeune scientifique, dans les égouts de la Mégalople, afin qu’elle puisse enquêter sur la véracité des lgendes sur la faune crypto-zoologique de ces derniers, ce dernier a été quelque peu surpris… et pourtant.

Par aub, le 6 septembre 2010

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Notre avis sur UNDER #1 – White Ladies

Je me souviens, gamin, lorsque j’ai vu pour la première fois Alien, le 8° passager…On est tendu, crispé sur son siège, on sursaute. Tout le talent du cinéaste (et des acteurs) réside dans le rythme de l’histoire, dans l’imagination du spectateur. On ne sait pas à quoi s’attendre, même si l’on sait qu’il faut s’attendre à quelque chose. Les images sont rapides, les scènes violentes, la musique terrible, les silences angoissants. Under en BD est pour moi Alien au ciné. Une grande réussite, de suspense, d’ambiance, de frissons et de sueurs froides. Christophe Bec joue avec ses personnages, mais aussi avec ses lecteurs. Il nous emmène aux frontières de l’angoisse et le dessin réaliste de Stefano Raffaele ne fait qu’augmenter cette sensation.
Christophe Bec fait parti des auteurs que j’adore. Même si je n’ai pas forcément accroché au même niveau à l’ensemble des albums qu’il a réalisé, il n’en reste pas moins  que son travail et la narration de ses histoires sont réellement extrêmement bien conçus. Une fois de plus, il prouve et démontre ses qualités de narrateur. Le suspense ne cesse de croître.
J’ai hâte de lire la suite, et je suis ravi, d’habiter dans un village où le tout à l’égout n’existe pas, ça évite les canalisations partout sous les rues et les maisons…

Par AUB, le 6 septembre 2010

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