URAGIRI
La trahison connaît mon nom
Autour de la petite fille qui était en réalité possédée et dont l’enlèvement a été empêché, Yuki va avoir le loisir d’observer le comportement de ceux qui l’entourent et de comprendre les inimitiés qui existent entre certains d’entre eux. Puis son acceptation tardive de la proposition de Takashiro va être suivie par son arrivée au Manoir du Crépuscule où il devra se faire sa place, accompagné qu’il est par Luka Crosszeria que tout le monde regarde encore comme l’Opast qu’il est (un Duras de niveau supérieur), même s’il a choisi de vivre du côté des humains et de protéger Yuki…
Par sylvestre, le 2 octobre 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782811605247
Notre avis sur URAGIRI #2 – La trahison connaît mon nom
Derrière son très esthétique dessin de couverture faisant bonne publicité aux talents de la mangaka Hotaru Odagiri, ce tome 2 de la série Uragiri a malheureusement (comme le premier) tendance à faire perdre pied à ses lectrices et lecteurs. Encore plus, même, peut-être, si l’on comptait sur ce second volume pour gommer les incompréhensions qu’on avait pu accumuler lors de la lecture du premier volet ! C’est en tout cas l’impression qu’auront sans doute beaucoup si, comme moi, ils ne réussissent pas à faire le point sur qui est vraiment qui, sur quel est son rôle et sur quels sont les enjeux profonds de cette guerre entre humains et démons…
Quand en plus, peu après l’arrivée de Yuki au Manoir du Crépuscule, certaines saynètes comme par exemple celle où il est question de cuisine et autres nouilles instantanées font carrément (même si c’est momentané) partir le récit loin des ambiances qu’il a jusque là tenté d’installer, on a du mal à garder un intérêt constant pour ce qu’on lit ! Pour peu qu’on soit un poil réticent à certains dialogues dignes de mangas yaoi, dubitatif lors des apparitions de la créature appelée Sodom (si, si…) ou agacé par le look coco-bel-oeil "col débraillé" de nombreux personnages, on a vite fait de ne plus trop savoir sur quel pied la série veut danser et on décroche, tout simplement…
Uragiri semble être de ces séries qui séduisent instantanément ou qui lassent tout aussi vite. De ces séries auxquelles on accroche sans doute mieux si et seulement si on est aficionado de mangas compliqués romantico-ésotérico-fantastiques… Aux lectrices et lecteurs de s’y frotter donc afin de savoir dans quel camp ils se trouvent… Celui des humains ou celui des Duras ? Euh… Celui de ceux qui accrochent, ou celui de ceux qui abandonneront ?!
Par Sylvestre, le 2 octobre 2011
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