WAYNE SHELTON
La nuit des Aigles

La nuit des Aigles conclue le diptyque ouvert avec le tome 7.

J’ai trouvé que cette aventure de Wayne Shelton avait un parfum différent des précédents. ici, il y a un petit parfum de fantastique avec cette lance de Longinus plus connu sous le nom de Sainte-Lance. Et puis, nous apprenons qu’Hitler ne serait pas mort dans son bunker, c’était un sosie mais il serait mort d’un cancer en Amerique du Sud.
A un moment aussi, j’ai cru qu’Hellboy allait se pointer pour botter les fesses de ce Stalizzi, un prêtre défroqué, disciple de Raspoutine et du Comte de saint-Germain.

Mai au final, ce récit est d’une bonne facture. Cailleteau a écrit un bon thriller qui nous a bien tenu en haleine et nous as bien surpris par moment. le final est bien sur à la hauteur de l’aventure avec sa dose d’explosions et de fusillades. Mais le doute subsiste quand même : le lecteur se sent comme Shelton à savoir si la Sainte-Lance n’aurait pas marché.

Denayer montre encore une fois son talent pour ce style de récit et ses scènes d’actions dignes du cinémascope, surtout à la fin, avec cette scène d’action qui nous rappelle les meilleurs heures de ses fameux Casseurs, Al et Brock.

Une conclusion qui ne décevra pas les amateurs et qui montre que Wayne Shelton, malgré son âge, a encore des bonnes heures d’aventures devant lui.

Par BERTHOLD, le 8 mai 2009