YOKO TSUNO
Aventures électroniques
6 petites aventures avec comme héroïne Yoko Tsuno.
La première concerne un hold up dans lequel Yoko se trouve au mauvais endroit au mauvais moment…
Ensuite vient un petit conte de noel, avec un petit ange, une électronicienne et un soudeur… La troisième histoire concerne un étrange gorille qui sème la panique en pleine nuit… Puis vient ensuite le détournement de fusées postales (NDR : si si je vous assure), suivi de près par l’avant dernière histoire, avec des abeilles espionnes, avec Pol cette fois-ci. Et enfin pour terminer ce petit recueil d’histoires, c’est à une drôle d’araignée extraterrestre que Pol et Yoko ont affaire, peut-être pas si extraterrestre que ça d’ailleurs…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2800106697
Notre avis sur YOKO TSUNO #4 – Aventures électroniques
Une petite rupture dans la série avec des histoires courtes et rafraîchissantes. Pour ma part je trouve cela agréable, surtout le petit conte de noël, agréable et frais. C’est d’ailleurs la morale de cette histoire qui m’a fait grandement apprécier l’histoire. Je ne peux d’ailleurs résister à l’envie de vous citer les paroles de Yoko : « C’est Annick qu’il faut remercier! Car si rien ne serait arrivé si en cette nuit de noël, un ange n’avait volé si bas ! ». Cela n’a peut-être aucune signification pour vous, mais je vous conseille de lire cet album et assurément, vous serez sous le charme de cette héroïne asiatique qu’est Yoko Tsuno. Pour ma part, depuis 4 albums, j’accroche avec plaisir aux aventures du Trio de l’étrange formé par Vic, Pol et Yoko, trois personnages jeunes et aventuriers, qui ne se dégonflent pas devant de nouvelles aventures et les mystères qu’elles recèlent.
Le scénario est toujours aussi soigné, même avec ces petites histoires, et pour le dessin, rien à redire non plus. Une fois encore, c’est avec plaisir que je vais lire l’album suivant, surtout que l’attente n’est pas nécessaire, puisque la série est déjà bien avancée. En un mot comme en cent, lisez Yoko Tsuno, vous m’en direz des nouvelles.
Par Siam l'Archiviste, le 15 août 2003